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Auzeville-Tolosane. Elles étaient à la journée consacrée aux élues

Samedi 11 mars, une « Journée du réseau des femmes élues de Haute-Garonne », journée de formation et d’échange, a été organisée par l’association élues locales, en partenariat avec le conseil départemental. Marie Caroline Chauvet, conseillère municipale à Auzeville-Tolosane, déléguée à la communication a participé à cette conférence avec Isabelle Nguyen Dai, conseillère municipale chargée du développement de la politique culturelle dans la même commune.

Comment s’est déroulée cette journée ?

Cette journée consistait en une matinée organisée autour de 3 ateliers au choix : mieux gérer les conflits, s’affirmer en politique et maîtriser les réseaux sociaux, suivi d’un déjeuner partagé. J’ai suivi les gestions de conflits et Isabelle « s’affirmer en politique ». Puis 5 intervenantes ont animé la table ronde.

Quels étaient les thèmes abordés aux tables rondes ?

Nadia Bakiri, conseillère régionale, Sandrine Floureusses 9e vice-présidente en charge du dialogue citoyen, de l’égalité de la jeunesse, Michèle Garrigues maire honoraire de Belberaud représentante de l’observatoire régional de la parité, Christelle Matheux, maire de Lamasquère, ambassadrice du réseau femme élues de la Haute-Garonne et Coralie Poret-Creunet directrice du centre d’information sur les droits des femmes et des familles de la Haute-Garonne sont intervenues lors d’une table ronde sur « la lutte contre les violences sexistes et sexuelles en Haute-Garonne ».

Qu’y avez-vous appris ?

Nos fonctions d’élues sont nouvelles, c’est notre 1er mandat et nous étions très intéressées de trouver de nouveaux outils. Ces formations sont très utiles pour les élus, que nous soyons femmes ou hommes élus. Nous en avons retenu des outils et aussi, ce qui est au moins aussi important, l’opportunité de créer des relations, de pouvoir s’appuyer les unes sur les autres et être connectées en réseau. Dans notre rôle d’élue, pouvoir faire des rencontres, partager des expériences et outils, s’inspirer de ce qui se fait ailleurs est essentiel. Ce qui était aussi très intéressant est l’état d’esprit « non-partisan », et les échanges ouverts, au-delà de différences politiques éventuelles. La table ronde nous a montré que le sujet de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles reste un sujet d’actualité, avec de nombreux acteurs très engagés.

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