There is a clash at the top of Group C, on September 17th (5:45 PM) in Saint-Etienne. The battle will be partly fratricidal and is already causing tension among both teams.
Une affiche pas comme les autres : pour les sept « Fidjiens » des Wallabies, le choc face à l’équipe de leur pays d’origine, ce dimanche 17 septembre (17h45) à Saint-Étienne en Coupe du monde s’annonce aussi ardent émotionnellement que sur le terrain, où ils s’attendent à un traitement spécial.
« I cannot reword »
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Avec l’ailier Mark Nawaqanitawase, le demi de mêlée Issac Fines-Leleiwasa et les troisième ligne Langi Gleeson et Rob Valetini, tous d’origine ou de nationalité fidjienne, ils s’attendent à une réception musclée de leurs compatriotes.
Four years ago, Kerevi and Koroibete scored a try in the Australian team’s big victory against the Flying Fijians (39-21) at the Japanese World Cup. However, they have other memories, according to winger Suliasi Vunivalu. « I spoke with Marika about the last World Cup, » confesses Vunivalu. « He told me that they were specifically targeted, like Fijians against Fijians. He told me he heard people saying ‘take him down, take him down’ in Fijian about Samu. » « I asked him if Samu was aware of it, and he replied that he didn’t want to tell him, » he continues. « I think they are eagerly anticipating a similar situation this weekend. »
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Indeed, under no circumstances would Kerevi have missed this appointment, despite his return from a hand fracture less than a month ago, according to his coach Eddie Jones.
« Trente Fidjiens sur le terrain »
« Il s’agit d’un match d’une grande importance pour lui. Affronter son pays natal est une expérience très particulière », a déclaré l’entraîneur après la victoire des Wallabies contre la Géorgie (35-15) lors de leur entrée dans le Mondial. « Nous ferons tout notre possible pour qu’il soit dans les meilleures conditions. »
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On the other hand, Simon Raiwalui, a Fijian born in New Zealand but raised in Australia, denies any animosity towards his « brothers » who play for the Wallabies. « We are proud of all Fijians playing worldwide, » he assures. « Some had to go abroad to find opportunities, but we are proud of all our brothers, whether they play for Fiji, Australia, or other countries. It will be great to have thirty Fijians on the field. »
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Even in the face of a clash with the motherland, Marika Koroibete does not expect any disagreement with his family back home: « They will support Australia, » insisted the winger, who has been crowned Wallaby of the Year twice (2019 and 2023). « I say it every time, but it’s the country that has given us the opportunity to pursue our dreams and careers. They will be 100% behind Australia. » The chances of disappointment are also lower: Eddie Jones’ men are the favorites after Fiji’s lack of accuracy against Wales (32-26).
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D’autant que les Flying Fijians, emmenés par Semi Radradra, ne se sont plus imposés depuis 1954 et 18 rencontres face aux Wallabies. Mais ils ont montré en battant pour la première fois de leur histoire l’Angleterre, cet été en match de préparation à Twickenham, qu’ils pouvaient mettre fin à une série.
