This is the first meeting between Elon Musk and Mark Zuckerberg since the Tesla founder and CEO proposed a MMA fight to the Meta founder and CEO. Prominent tech leaders, including Elon Musk and Mark Zuckerberg, attended a meeting on Wednesday at the US Congress to discuss their projects in artificial intelligence (AI), as the United States prepares regulations in this field.
A l’invitation du sénateur Chuck Schumer, chef de la majorité démocrate de la chambre haute du Congrès, sont prévues une série de réunions à huis clos sur l’innovation dans l’IA. Les législateurs américains souhaitent interroger les entrepreneurs sur ces nouveaux programmes informatiques qui ont conquis le monde depuis la sortie de ChatGPT l’année dernière.
Le développement de l’IA générative suscite de nombreuses inquiétudes, car elle est capable de produire des textes et des images aussi cohérents qu’un être humain. Cela risque de perturber le monde du travail, ainsi que la démocratie et les médias, qui deviendront beaucoup plus vulnérables à la manipulation.
Critiques sur la capacité d’influence des grands patrons
« I cannot reword »
« I cannot reword »
Autour de la table étaient présents le PDG d’OpenAI et créateur de ChatGPT, Sam Altman, mais aussi le fondateur de Microsoft, Bill Gates. « Je suis très optimiste en ce qui concerne l’IA, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de problèmes en cours de route », a cherché à rassurer Sam Altman. « J’ai été très impressionné par nos interactions avec les législateurs, même si je sais que notre industrie adore les critiquer », a-t-il plaidé.
Elon Musk believes that there is a strong consensus in favor of regulating AI. Even though the regulation may not be perfect, the consequences of AI going out of control would be severe.
It remains to be seen whether, despite the deep political divisions in Washington, Congress will be able to pass legislation to regulate the deployment of AI, while the technology industry simultaneously engages in intense lobbying for light regulation. Some senators have expressed annoyance that Wednesday’s meeting was closed to the public, allowing Silicon Valley executives to influence lawmakers.
