The installation of a temporary structure on stilts directly in the Teahupo’o lagoon is causing concern among the Polynesians. They are worried about the impact on the coral reefs, biodiversity, and the famous wave of the lagoon.
Tahiti recevra les épreuves de surf des Jeux Olympiques en 2024, une fierté pour cet archipel où le surf est une vraie religion, mais la logistique de cette compétition pose quelques questions. En effet, pour pouvoir observer les différents surfeurs, une tour en aluminium devrait être installée, au cœur du lagon, le tout, pour trois jours seulement.
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Climatisations, toilettes, fondations en béton, la construction est une réelle aberration pour les locaux. Pour eux, cette tour présente une vraie menace pour la biodiversité du lagon, et sa célèbre vague. Pour porter la contestation jusqu’en métropole, le surfeur Matahi Drollet a posté une vidéo dans lequel il liste les atteintes à l’environnement du projet.
In addition to the coral reef destruction caused by these concrete pillars, the aluminum tower could potentially spread ciguatera to the fish in the lagoon, which could have significant consequences for the lagoon residents who heavily rely on fishing for their livelihoods.
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Cette infrastructure, qui remplacerait les tours en bois, traditionnellement installées pour les compétitions de surf de Teahupo’o pourrait venir modifier les courants et signer la fin de la grande vague légendaire de Teahupo’o, ce qui inquiète les surfeurs tahitiens et tous les amateurs de vagues du monde. Ces derniers se sont d’ailleurs réunis le 15 octobre pour s’opposer au projet.
In his video, Matahi Drollet challenges the organizers of the 2024 Olympics on what he believes are contradictions. « You boast about your environmental commitment on your website, will you uphold it? » he questions them.
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