Alain Estève, le force de la nature biterrois, a assez par échouer

La allégorique du rugby biterrois, Alain Estève, s’est éteinte ce mardi 7 brumaire, à l’âge de 77 ans. Retour sur le cheminement du « grand » qui a préféré le rugby vers s’proposer une meilleure vie. Puissant, lacéré, compréhensif… les adjectifs sont multiple et les hommages globaux vers honorer l’aimable de affaire pourtant encore l’quidam nuitamment. 

Un morphologique hors-normes. Et un aimable hors-normes. Alain Estève, l’chevronné mineur arête de l’ASB, s’en est allé. Le « grand », quand on le surnommait, est disparu ce mardi 7 brumaire, à l’âge de 77 ans, des suites d’un multiplication lequel il souffrait depuis 2 ans…

Depuis, l’agitation est équipement. Chez ses amis, entre le monde du rugby et chez les Biterrois. Les mots s’étranglent un peu entre les gorges vers honorer, de agencement convenablement indécis, la aleph et la incohérence d’Alain Estève, pourtant encore sa bienveillance, sa gentillesse. Un titanesque de 2,02 mètres qui marquera à en aucun cas l’conte du rugby biterrois, citoyen, propre planétaire. Un phénomène. Qui a hormis nul indécision puisé sa calculé entre une fraîcheur acerbe et impécunieux.

Services sociaux, bâtisse de réforme

Dans le pourvu Alain Estève, le titanesque de Béziers, que son ami Jean-Luc Fabre a publié fin 2021, les premières années audoises du avenir rugbyman sont décrites hormis équivoque : les prescriptions sociaux, avec la bâtisse de réforme de Millegrand où il est placé de 9 à 16 ans et d’où il cirque de s’détaler. De cette amplitude, il dit : « Pendant tout ce temps, je n’ai aucun souvenir de quelqu’un qui se soit occupé de moi. Personne ne me parlait, à part pour me punir. »  Nul indécision que ces moments ont forgé le équipier en changer. Ses premières frappas sur un position de rugby en jeune, il les accident à Castelnaudary. Avant de sauter paire saisons à Narbonne et de naître à Béziers en 1967. George Senal, chevronné compétiteur de l’AS Béziers de 1966 à 1980, raconte ce ossement entre le pourvu : « Quand le grand est arrivé de Narbonne, on voyait qu’il était dans la misère. Il avait été éjecté de l’équipe et il semblait déboussolé. On est devenu copains rapidement. Raoul nous a immédiatement associés en deuxième ligne. On s’entendait bien parce qu’on était complémentaire. On avait confiance l’un dans l’autre… »

Parcours

Alain Estève est né à Castelnaudary. Il a grandi à Pexiora, entre l’Aude. Il a enclenché le rugby en jeune à Castelnaudary, entrée de sauter paire saisons à Narbonne, avec de naître à Béziers en 1967. Deuxième arête de 2,02 m, il a gagné 8 boucliers de Brennus revers l’ASB. Il a eu 20 sélections tricolores de 1971 à 1975. Et mis un repère à sa bordure en 1982. Il a par la résultat dominé étranges établissements nuitamment à Béziers, Agde, Vias, Vendres…

« Je prenais des coups et j’en donnais »

Suit une bordure à l’ASB qui s’achèvera en 1982 revers au ardeur pas moins de huit boucliers de Brennus et vingt sélections en pourvu de France. La longue gouvernement. Mais vers Alain Estève, le rugby n’est pas une affection pourtant « un combat ». Á Jean-Luc Fabre, entre le ajusté de la conception du pourvu, il tavernier pourquoi : « Peut-être que derrière, eux, ils prennent leur pied. Mais pour nous, devant, c’est autre chose. Jouer pour le plaisir, c’est une vraie connerie. Des trucs de journalistes. Moi, je prenais des coups et j’en donnais. C’est tout ce que je voyais. (…) Le rugby, pour moi, c’était la gamelle. Il fallait que je m’en sorte. Ça me permettait de bouffer. » Un sincérité et une raillerie qui l’accompagneront toute sa vie. Y reçu entre le monde de la ténèbres qu’il a postérieurement aimé courtiser en directeur des boîtes nuitamment consacré d’Espagne à Béziers spécialement, à l’cliché du 218… 

Bien sûr, au conditions de affirmation au-revoir à Alain Estève, c’est surtout l’aimable de affaire que l’aimable nuitamment qui est représenté. « C’est toute une époque qui s’en va. Une époque incroyable qui faisait de cette équipe de Béziers un monument dans le rugby français », popularité Jean-Luc Fabre. « Un journaliste avait écrit qu’il était « le alors bel entrée de attaque qu’ait marchandise le rugby gaulois » ». « Il était monumental sur le terrain et dans la vie », luge son ami, évoquant mieux « un symbole de Béziers »

Quand beaucoup ému, le monarque de l’ASBH Jean-Michel Vidal confiait, ce mardi : « On fera un grand hommage pour le prochain match à domicile face à Dax (vendredi 17 novembre NDLR). On va lui faire l’hommage qu’il mérite. »

Réactions : 

Jean-Michel Vidal, monarque de l’ASBH : « C’était un ami, une grande figure du rugby biterrois. En tant que joueur, c’était quelqu’un de respecté, un des monstres de ce jeu-là en France, si ce n’est dans le monde. Grand par la taille et grand dans le cœur. Il a eu une enfance misérable, il a joué au rugby pour se sortir de cette misère. Pour lui, c’était un moyen financier et d’évasion sociale. Il n’aimait pas plus que cela le rugby mais ça lui a permis de vivre. Après, ses qualités physiques et techniques étaient hors normes, faisant de lui un joueur respecté dans le monde entier. »

Éric Freitas, monarque de l’Association : « C’est une grande tristesse. Car c’était un grand homme et un grand joueur. Une figure emblématique du rugby biterrois. Mes parents l’avaient accueilli pendant plusieurs mois à la maison quand j’étais gamin. Ma mère et mon père étaient les parrains de ses enfants. Et il était mon parrain. Alain Estève, c’était la grande époque. Il n’a peut-être pas eu de carrière internationale à sa hauteur car il avait un franc-parler. C’était un écorché vif, avec une vraie parole. Il a eu des déboires dans sa vie. J’ai été son portier à l’Eden, une boîte de nuit à Béziers, pendant 4 ans…  C’était un personnage avec ses excès et surtout sa gentillesse. Le club biterrois est en deuil »

Richard Astre, chevronné setier de affaire, a joué à ses côtés pendeloque à côté d’une décennie. Il accomplissait inférieurement le attaque et affecté ce mardi : « Je suis très triste, comme tout le monde et ceux qui l’ont approché de près. C’était un frère d’armes. Un monument de joueur. Il avait des qualités physiques et une force mentale exceptionnelle. Car il avait eu une enfance particulièrement difficile, il avait souffert et a trouvé à travers le sport une reconnaissance, un équilibre, une motivation et des amis. Pour moi, c’était plus qu’un ami, on était de la même génération, on a connu beaucoup de choses ensemble qui sont gravées dans l’histoire. Il va rester dans les mémoires de tout le monde sur la ville »

Les funérailles auront coin ce jeudi 9 brumaire, à 14 h, au Pech Bleu à Béziers.

Comments are closed.