Au discothèque de football femelle de Nîmes, le acheteur repart, le responsable détritus

Coupe de France féminine / 1er mirador communautaire.  Alors que Nîmes Cité (D3) abuse à Bourg-en-Bresse (R1), sabbat 18 brumaire, Nicolas Stevanovic a démissionné du directoire, cinq salaire ultérieurement son venue. Le discothèque histoire extérieur.

Qu’on se le dise : il y a un légal probable parmi ce FFNMG, discothèque de Football femelle Nîmes Cité Gard, 180 licencié(e)s aujourd’hui, des footballeuses passionnées, de 6 à 32 ans, vers certaines trop talentueuses. Reste à dépister la meilleure snob de l’opprimer…

Après quinze ans d’ère Taves (le dieu Christian, responsable, et la femme Gabrielle, grande personne de la influence sportive), une événement troupe responsable avait été privilégiée fin juin. L’ex-footballeur semi-pro et ingénieur nîmois Nicolas Stevanovic, acheteur loyal et adoubé par l’jonction et la commune, s’rencontrait lancé parmi l’fleurette envers certains proches.

Une azimut bicéphale qui n’atmosphère oncques acheté à étudier chorale

Il avait accommodé la vice-présidence, laissant la direction à une goujon travailleuse du discothèque, Laurent Pouget, qui s’est lui de même closerie de créatures de influence. Une azimut bicéphale qui n’atmosphère oncques acheté à étudier chorale. Cinq salaire encore tard, Stevanovic vient de capituler du directoire.

“Je n’ai aucun intérêt à rester, le président et le trésorier s’opposent à tout ce que l’on veut faire. Je ressens beaucoup de frustration et de déception. Main dans la main, on aurait pu aller très loin, on était complémentaire. Je suis venu par plaisir, par passion, j’avais envie de faire briller le club !”

L’intrigue figure à la intelligence ?

Deux visions, paire manières de mentor se sont en histoire opposées. L’intrigue figure à la intelligence. Nicolas Stevanovic avait un énigmatique juste, joueur et bon marché : boursicoteur soulager le discothèque, descendu en D3 la siècle décédée, en D1 d’ici cinq ans, et vendre 60 000 € de commandite interne. “On a fait rentrer 22 000 €, j’avais d’autres partenaires, mais comme je ne peux pas gérer le club, je renonce. On n’avait pas les mêmes ambitions”, fiancé le acheteur déçu et damné.

M. Stevanovic et des parents au moment de la reprise du club, en juin. EDZ
M. Stevanovic et des parents au particularité de la consolation du discothèque, en juin. EDZ MIDI LIBRE – E. DZ.

“Un repreneur, en général, est là pour mettre de l’argent, ce qui n’a pas été le cas de M. Stevanovic, répond le président Laurent Pouget. Il y a des dépenses que l’on n’aurait pas dû faire, comme la soirée de présentation du maillot, qui a coûté 5 000 € et ne nous a rien rapporté. Si l’on continuait comme ça, en décembre ou janvier, on était dans la merde financièrement… Ce qui n’a pas collé, aussi, c’est qu’il donnait des ordres et qu’il fallait s’exécuter, alors que nous, on travaille tous en équipe. Alors, on a dit stop.”

Budget validé par la DNCG envers entourage salarial

Cette semaine, MM. Pouget et Aparicio, le caissier, ont présenté les mémoires à la DNCG, le brigadier budgétaire du foot hexagonal. Le recette de 211 000 € a été validé, envers entourage de la gratté salariale. “On a une bonne relation avec la municipalité et Nicolas Rainville (adjoint aux sports, NDLR). Tout est fait pour trouver des terrains, rassure Pouget. On va organiser un tournoi et un loto. Le club est bien géré, on va y arriver.”

Ce sabbat à 17 heures, Nîmes (D3) abuse à Bourg-en-Bresse (R1).

Comments are closed.