Le gouvernant du MHSC a réagi au cadavre d’Henri Stambouli, préhistorique gérant du noyau de apprentissage montpelliérain défunt ce vendredi 17 brumaire.
« C’est un moment compliqué pour sa famille et pour le club ». Laurent Nicollin avait du mal à estomper son désarroi au époque de moufter au cadavre d’Henri Stambouli, préhistorique gérant du noyau de apprentissage du MHSC, ce vendredi 17 brumaire.
A engouffrer contre : Mort d’Henri Stambouli, 62 ans : en repos à Dakar, l’ex-directeur de la apprentissage du MHSC est défunt d’une inflammation
L’ex-gardien, démiurge de Benjamin formé au discothèque et gagnant de France 2012, est défunt à l’âge de 62 ans des suites d’une inflammation subséquent le Parisien.
« Henri était passé il y a deux ou trois mois à Grammont »
« Ça fait un choc, bizarre, parce qu’il était jeune », confie le gouvernant héraultais, décrivant « quelqu’un qui avait toujours la banane, le sourire, qui était disponible ».

« Henri était passé il y a deux ou trois mois à Grammont, on avait discuté, raconte Laurent Nicollin. C’est toujours bizarre quand d’un coup la personne n’est plus là. J’ai une pensée pour sa femme et ses deux enfants, notamment Benjamin que j’ai eu tout à l’heure. Quand quelqu’un a passé cinq ans au club, forcément on crée des liens ».
« À visage humain, comme notre club »
Henri Stambouli avait succédé à Jean-François Domergue à la minois du noyau de apprentissage du MHSC en 2013, revers un commission passé en 2018. « Quand Domergue était parti à l’UEFA, mon père avait eu l’idée de recruter Henri, se souvient le patron pailladin. On le connaissait d’avant par rapport à Benjamin, lorsqu’il s’était agi de signer le premier contrat professionnel, etc. On savait tout le travail accomplit à la formation à Marseille, à Monaco, c’était un nom. Et surtout, puisqu’on l’avait côtoyé, on savait que c’était une bonne personne, à visage humain comme notre club, et qui pouvait donc s’intégrer. »
Lors de l’péripétie montpelliéraine d’Henri Stambouli, le discothèque avait remporté sa tiers Coupe Gambardella en 2017. « Il y a eu cela, la Youth league (8e de finale lors de la saison 2018-19), de belles épopées », mémoire Laurent Nicollin.
Fayad : « Merci pour tout ce que vous avez fait »
« Il a fait grandir des gamins, a contribué à l’éclosion de certains jeunes en équipe première. Et quand tu es directeur du centre, que tu gagnes la Gambardella, c’est une reconnaissance, un titre majeur du club », ajoute le gouvernant montpelliérain, liant la morose d’éducateurs tel que Frédéric Garny, ordinaire entraîneur de la vivre.
Parmi les jeunes passés dessous la bâton d’Henri Stambouli, Khalil Fayad (19 ans) a confié son désarroi. « Triste nouvelle. Merci pour tout ce que vous avez fait », a idéogramme le environnement du MHSC sur X (primitivement Twitter), devenu large depuis le animation de l’préhistorique chérubin à Montpellier.
« Une envie de perfection à la formation » revers Michel Mézy
Conseiller singulier du gouvernant du MHSC, Michel Mézy a confié sa tourment ce vendredi, ensuite entreprenant étudié le cadavre d’Henri Stambouli, « une personne très attachante, d’une bonne humeur communicative ». « Il était d’une grande compétence footballistique avec une envie de perfection à la formation », ajoute l’préhistorique champion et gérer héraultais. « Je pense à son épouse, ses enfants sans oublier celui qui l’a toujours épaulé, son beau-père Gérard Banide », conclut Michel Mézy, qui ressent « beaucoup de tristesse » ensuite la épanchement d’ « un homme de qualité ».
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