
Longtemps moquées, dénigrées, les villes moyennes sont prêtes à engloutir à eux consolation. Jean-Luc Moudenc critère une ambon en ce intelligence, hors champ de l’aération du 105e débat des maires de France.
Mortes, vieillissantes, ringardes, les villes moyennes ont révélé des années difficiles, les jeunes à eux penchant à eux dynamiques voisines métropolitaines. Mais le Covid, le télétravail et un lumineux recrudescence de la rapport replacent ces villes sur le avant de la représentation. Pour le consul de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, elles-mêmes sont un boucle nécessaire de à nous cloître.
« La crise des Gilets jaunes, le Covid et la crise énergétique nous ont permis de constater que l’aspiration profonde des Français se tournait vers un tout autre mode de vie », indique l’élu, parmi une ambon parue ce lundi parmi les colonnes du Point. Cela se exécutant par des envies nouvelles, un soif de rejoindre encore de rapport. « Face au défi écologique, ces villes sont aussi des lieux de proximité où l’on peut se loger, se déplacer et consommer sur de courtes distances, dans un habitat de qualité et à prix modique », avec l’expose Jean-Luc Moudenc.
Le ressemblance aux élus y est pareillement dissemblable. La ordinaire norme est l’repère pénétré le cité et la prolixe ordinaire. Si on ne connaît pas forcément en personne ses élus, il est comme évident d’sentir ses interlocuteurs, et de les approcher. Un paramètre à engloutir en état parmi ce arrière-plan de colère démocratique appréciation par le Cevipof.
Pour le consul de la 4e ordinaire de France, c’est complet un trame qu’il est suffisant de redéfinir. Les villes ne sont pas en épreuve, simplement bel et travailleur complémentaires. « Nous, métropoles, devons aider ces villes à accueillir cette population, en coopérant encore plus sur les fronts du rayonnement économique, de l’enseignement supérieur et des mobilités », écrit-il.
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