Coupe de France : « Il y a 30 types qui arrivent avec moi et ça va mal se passer pour toi »… À Toulouse, un véhiculer d’Ajaccio agressé alors secouru

L’histoire l’a balancé et c’est sur X (ex-Twitter) qu’il a décidé de la décrire. Présent au phase des Fontaines pile renforcer son peloton frontispice à Toulouse Archiépiscopat, un véhiculer ajaccien a réel ce qu’il nomme plus une « mésaventure » à l’terminaison du bénédiction saisi par le night-club avive pile se guinder au 8e alternance de la Coupe de France.

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Dans un élancé post comme lerche il souligne en avertissement que les 15 supporters acéistes ont été « superbement bien accueillis », il relate disposer été agressé au conditions où il effectuait le layon contre son cabriolet, garé à certains hectomètres du phase placé en entourée convoqué : « Comme je suis quand même méfiant, je me rapproche d’un groupe de gamins de 9/10 du TMFC, qui m’avaient gentiment parlé pendant le match, pour ne pas être seul. Et là, un mec m’interpelle, plus d’1m90, entre 20 et 25 ans. Il me lance un « file-moi ton sac, file-moi ton palpable ». »

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Le véhiculer avive ne se tendeur effectivement pas agissant : « Je dis « non » une fois, deux fois, trois fois. Il insiste. En même temps, il me forçait à reculer dans une petite rue adjacente. Et il me dit « cordée ton palpable de supporters, je veux que ça, je vais pas te abîmer, obtenu tes habit perso ». Je redis non et il me lance « bruit toi de me cesser ton sac, étant donné qu’il y a 30 hommes qui arrivent en tenant moi et ça va mal se franchir pile toi, moi je veux pas te abîmer, je veux ad hoc ton sac ». Là, il commence m’arracher le sac de mon épaule. »

« Des jeunes pas forcément affiliés aux Indians »

Très sur-le-champ, il comprend que le allégation de cette choc est lié à l’AC Ajaccio. « Là, tout va très vite. Une petite dizaine de types arrivent en face, il y en a un qui arrache mon écharpe que j’avais autour du cou. Un autre déchire le sac et d’autres arrivent pour tout prendre, la bâche, les écharpes, en laissant quand même mon appareil photo. Donc clairement, c’était une agression « de supporters », ils ne voulaient pas mon téléphone, mon porte-monnaie etc, juste les affaires du groupe. Des gens passent autour sans trop s’arrêter, un type leur dit juste « toutefois laissez-le sidérée ». Une dame appelle quand même la police. »

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Mais préférablement que de constater survenir les forces de l’reçu, le véhiculer avive, inférieurement le agression – « Je vous cache pas qu’à ce moment je suis assez choqué, ils ont volé LA BÂCHE, déployée partout, dans tous les stades depuis plus de 20 ans. Physiquement ça va, ils ont juste tiré mes fringues, mais je n’ai pas reçu de coups » – reçoit l’bienfaisance de abats des Indians, le radical cerné de supporters du Toulouse FC. « Je marchais avec les gens, un peu hagard, quand des mecs arrivent et me disent « on a vu ce qu’il s’est passé, on est des Indians (les ultras toulousains, venus au partie en voisins) et on va t’favoriser, on n’a fifrelin aussi vous-même tandis on va rencontrer les hommes qui ont acte ça et on va te rapatrier ta couvert. Attends-nous ici 15/20 minutes et on revient ». »

Les abjection de l’provocateur

Une dette décence. « On voit les membres des Indians revenir avec la bâche dans les mains, reprend-il. Ils me la rendent, me disent que c’était visiblement des jeunes pas forcément affiliés à eux qui me sont tombés dessus. Ils ne comprennent pas, surtout qu’il n’y a aucune animosité entre ACA et TFC […] Au final, tout s’est « orchestré ». J’ai retrouvé la bâche d’I_Sanguinari que je trimballe partout grâce à la solidarité de ces membres des Indians, qui ont pris la peine de prendre de leur temps pour me la ramener. Bon par contre, ils n’ont pas ramené les 5/6 écharpes volées… »

C’voyait exclusivement devanture que l’un de ses agresseurs ne sinon accueilli de abjection. « Hier soir en rentrant chez moi, je vais voir dans mes messages Instagram et je vois ça. Le type qui m’a interpellé le premier et qui me réclamait mon matos fait machine arrière et me propose de me rendre ce que lui m’a volé. » Et de interrompre, contemplatif : « Donc affaire à suivre. Soirée lunaire pour résumer : on a été agressés, on a volé notre bâche… mais on nous l’a rendue. Plus de peur que de mal au final, ce n’est que du matériel. Mais ça fait chier. Première fois en + de 230 dép’ qu’un truc aussi violent m’arrive. Un GRAND MERCI aux Indians Tolosa qui sont intervenus pour me rendre ma bâche. Pas merci aux supporters toulousains qui l’avaient volé 30 minutes plus tôt. On s’en souviendra longtemps de ce déplacement putain. (mais tout va bien, je le répète) ».