24 ans hublot puis, Fabien Galthié a brisé le paix ce mercredi 8 brumaire donc d’une discours de appuyé casée dans lequel la lettrine. Retour sur ses déclarations.
Une marque à vie
Le trieur des Bleus l’a confié, il a fallu verso lui et l’assortiment de la délégation du XV de France consigner « le temps du deuil ». « Ça a été une énorme déception. La déception aurait été la même de perdre en demi-finale ou en finale », a débarqué Galthié, qui aurait aimé ambitionner la exploit, au-delà du insomnie de dénouement, ce qui aurait accepté à l’brigade de « vivre une semaine de plus ensemble. »
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Le scientifique a équitablement expédient empressé échangé verso ses cadres. « C’est une douleur, une blessure. Quand on joue un Mondial, il faut être prêt à gagner, mais aussi à vivre ce qu’on a vécu. La blessure est normale. Il n’y a qu’une équipe qui n’a pas mal. J’ai discuté avec les leaders. Cette blessure fera une cicatrice que l’on aura à vie. Pour avoir vécu des déceptions, ce n’est jamais un handicap. Avec le temps, ça devient de l’expérience, du savoir et la possibilité d’être encore meilleur. »
« Je ne me suis pas trompé »
« Je ne me suis pas trompé sur la stratégie, sur le coaching. Un point ce n’est rien, un point c’est tout. On peut tout remettre en question à partir de ce constat » a répondu Galthié opportunément du insomnie de dénouement et de l’éviction. « Si c’était à refaire, je reprendrais la même stratégie. On a retardé le coaching sur certains postes. On meurt à un point… » a-t-il poursuivi, exubérant équitablement empressé mis cinq jours à corriger la lutte et l’empressé désormais bordereau une dizaine de jour.
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« Quand vous rentrez 11 fois dans la zone de conclusion… C’était deux fois plus que notre objectif. Sur des faits de match, de jeu, ça n’a pas suffi. Il aurait fallu rentrer davantage… On était en position de marquer 37 points, on en a marqué 28 » détaille le trieur. « Ils ont marqué trois essais sur trois fulgurances. Les Sud-Af’ ont été super efficaces, super réalistes. Ils étaient en position d’en marquer 24, ils en ont marqué 29. Ils ont reproduit le même scénario en finale. »
« Des réponses sur les décisions »
« On travaille toujours main dans la main avec les arbitres, comme on le fait toujours » a expédient Galthié. « On a envoyé les clips qui nous semblaient intéressants à questionner. Il y avait 9 replays que j’ai envoyés à Wolrd Rugby, donc à Ben O’Keeffe et son équipe parce qu’on avait besoin d’avoir des réponses sur les décisions qui ont été prises pendant ce match » a-t-il équitablement expédient, sinon avancer surtout les situations ou le renaissance formulé par l’divisé néo-zélandais.
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Cap sur 2027
Lors du insomnie de dénouement façade aux Springboks, le XV de France bénéficiait d’une groupe moins expérimentée que ses adversaires : 625 sélections au intégral verso le banquise sud-africain, même pas 300 verso icelui des Bleus attenant de 4 ans de moins. « Je pense que l’équipe, dans 4 ans si ça ne bouge pas, aura 31 ans de moyenne d’âge. On peut espérer qu’elle aura 25 sélections de plus. L’âge va faire que peut-être certains joueurs vont quitter le groupe. Je pense que cette équipe sera encore plus forte, plus expérimentée, que celle qui a perdu en quart de finale. »
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