Ian Foster, le trieur de la Nouvelle-Zélande chez la Coupe du monde, est gain sur la élaboration du ludisme d’jour des Blacks grâce à l’escouade de France. Et hétéroclites éléments sont venus la brouiller.
Il dit d’aussitôt « ne pas vouloir se chercher d’excuses », toutefois l’ex-sélectionneur de la Nouvelle-Zélande Ian Foster disposé somme itou plusieurs autobiographie de la élaboration du ludisme d’jour de la dynamisme du monde en flanc de la passage.
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Avant d’mépriser les Bleus au bordure de France, les Blacks sont placés à cause un guinguette à Créteil par la association internationale, World Rugby. Et hétéroclites récapitulations viennent interdire les évolutions finalistes : « On a eu des soucis avec l’air conditionné qui ne fonctionnait pas. Il faisait 36 degrés, et on avait l’impression d’avoir dix de plus à l’intérieur. On manquait d’air » a-t-il bulletin au domestique L’Equipe.
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Si des abattis de l’chambranle sont allés brader cinquante ventilateurs, ce n’est pas le même tourment quant à Foster et les Blacks, qui seront battus 27-13 par la France : « Chaque fois qu’on mettait en route un grille-pain, les plombs sautaient dans l’établissement. Ce n’était pas l’endroit idéal pour préparer un match d’ouverture de Coupe du monde » a donné le entraîneur des évolutions finalistes.
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Beau ludique, Foster l’a comme même indéniable : « On n’a pas à se laisser perturber par des choses qu’on ne contrôle pas. Un peu d’adversité, ça soude un groupe. C’est aussi ça l’aventure d’une Coupe du monde : savoir s’adapter. Face à la France, on n’a pas été bons, surtout dans le dernier quart d’heure. Et ce n’est en aucun cas de la faute de cet hôtel. »
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