Coupe du monde de rugby : « Tellement sale », « détritus », effarouché en entière crépuscule… La Nouvelle-Zélande discuté fougueusement les hébergements des joueurs

l’édifiant La lourd néo-zélandaise relate nombreux épisodes survenus donc du salle de séjour des All Blacks en France comme le terminal Mondial de rugby (8 septembre-28 octobre).

Après les révélations sur l’violence au lame laquelle ont été victimes l’assorti et la nymphe de Ian Foster, le sélecteur des All Blacks, la lourd néo-zélandaise se évènement l’consonance de authentiques soubresauts traversés par les joueurs de rugby du Pacifique comme la Coupe du monde en France (8 septembre-28 octobre).

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Selon une inquisition du New Zealand Herald, le leader palace des All Blacks, repéré à Créteil, proposait des occasion distant d’essence optimales. Un fondation 4 étoiles sur le marchandise, seulement laquelle le bordereau se sollicité « s’il en mérite ne serait-ce que trois ».

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Le familier parle d’un palace rien caléfaction (pendant que les températures existaient élevées), rien foire de fête à cause créer les retrouvailles et/ou les briefings d’meute et encore, une pollution :  « La cuisine est tellement sale que le chef-cuisinier des All Blacks, Wallace Mua, a insisté pour la nettoyer pendant trois heures avant d’accepter d’y travailler » subséquent l’inquisition.

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L’article relate puisque la crépuscule du 7 au 8 septembre. Alors que les Blacks doivent mépriser les Bleus au Stade de France en plaisir d’bouchon une paire de heures davantage tard, l’indigence de caléfaction conjuguée à de fortes canicule a compulsif nombreux joueurs à arrêter pour les couloirs de l’palace, sur à elles paillasse. Une crépuscule, qui davantage est, perturbée par le déclenchement d’une effarouché ardent aux voisinage de 3h du chien.

Et le New Zealand Hérald d’amener que ces occasion ont pu possession des répercussions sur le champion. « Très certainement, les joueurs de l’équipe de France n’ont pas enduré tout cela et dormaient à poings fermés dans leurs chambres climatisées et insonorisées. » Les Blacks ont ambulant le plaisir d’bouchon faciès aux Bleus (27-13).

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Autre habitation, contradictoire désillusion. Les Néo-Zélandais ont de la sorte toléré à elles quartiers à Lyon, comme le Mondial. « Dans ce camp de base là » écriture le New Zealand Hérald, « la construction de la piscine promise n’était pas achevée, et ressemblait davantage à un bunker en béton, des détritus à la surface de l’eau, et des traces de rouille due à la pluie s’étaient accumulées ».

Toujours subséquent le bordereau, World Rugby a d’éloigné dépeuplé de la état de ses établissements le leader palace des Blacks, à Créteil. En résultat, prolongation au ardeur des joueurs du Pacifique, la Alliance internationale s’est exténué calculé qu’il n’atteignait davantage les standards suffisantes.

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