
Dans un voisinage publié ce jeudi 9 brumaire, l’liaison Générations futures révèle la assiduité de composés inconnus du gentilhomme assistant, qui associent les PFAS, les polluants éternels, aux pesticides. Une trentaine d’imprégné eux est utilisée en France et utilisée à cause particulièrement à cause l’culture.
Faut-il capital frayeur des PFAS, ces composés perfluorés (per- et polyfluoroalkylées) qu’on qualifie de polluants éternels en cerveau de à elles traitement, à svelte réussite, à cause l’situation ? En 2019, le cinérama étasunien « Dark Waters » alertait le gentilhomme assistant sur à elles assistance. En France, le tâche de la Transition biotique a lancé un « plan d’action » sur cinq ans (2023-2027) contre « réduire les risques à la source », dans les industriels.
Les PFAS, utilisés contre la obstination de la bluette carbone-fluor qui les caractérise, sont présents à cause de copieux produits du aisé : vertugadin truqué, lentilles de proximité, cosmétiques, anti-moustique, lubrifiants contre bicyclette, additifs du béton… et à cause les pesticides, disciple un voisinage publié ce jeudi 9 brumaire par Générations Futures et le noeud occidental Pesticide Action Network Europe.
Selon le écrit, « environ 12 % des substances actives des pesticides de synthèse autorisées dans l’Union européenne appartiennent à la famille des PFAS ». Un entier de 37 molécules sur 306 pesticides a été immatriculé.
En France, disciple le voisinage, « 30 substances actives pesticides PFAS sont autorisées soit 13 % des substances synthétiques autorisées en France ». Et « leurs ventes ont triplé depuis 2008 », « en 2021, 2332 tonnes de substances actives PFAS ont ainsi été vendues ».
Les encore utilisés sont le flufenacet et le diflufenican, des herbicides.
Découverts par particularité à cause les revues de perfectionnement de la règlement REACH
« Nous avons découvert ces composés en janvier, à l’occasion d’un rapport qui doit nourrir le projet des restrictions des PFAS à l’échelle européenne, dans le cadre de la réglementation REACH. Ils en étaient exclus », s’étonne Pauline Cervan, toxicologue.
L’enquête de Générations futures vitrine donc que si ces composés relèvent de la règlement sur les pesticides, lui-même est médiocrement amie : « La persistance seule d’un composé n’est pas considérée comme une propriété suffisamment préoccupante pour interdire les pesticides, et les documents d’autorisation montrent des failles énormes dans la gestion des risques ».
« On est au-delà de la question d’émission non intentionnelle de ces produits par des industriels. On est cette fois sur une problématique d’usage et d’épandage délibéré dans l’environnement et sur les sols, sachant que plusieurs de ces produits sont reconnus comme cancérogènes, ou dangereux pour la reproduction, ou avec des effets sur le système immunitaire et endocrinien. Des effets nocifs pour la santé humaine sont relevés lors d’expositions à très faible dose », souligne Pauline Cervan.
10 000 jours importants contre bifurquer par couple les quantités accomplis à cause les sols
La constructeur souple particulièrement sur les risques générés par les métabolites, les produits de usure des PFAS. L’un d’eux, le TFA est spécialement suivi : « Il faut 10 000 jours pour diviser par deux les quantités persistant dans le sol ».
François Veillerette, voix de Générations futures, co-fondateur de l’liaison de armure de l’situation en 1996, et co-auteur du fascicule « Pesticides, révélations sur un scandale français » (Fayard, 2007) épreuve que différents mesures soient prises : il faut « considérer la persistance de ces composés comme un effet inacceptable pour l’environnement », battre exactement « le règlement sur les pesticides » hormis abandonner de failles, et « aller vers une agriculture sans pesticides, l’Inra a montré que c’était possible ».
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