Emmanuelle Gazel, procureur de Millau, placarde la réouverture du chemin de Bonald aux voitures.
La Capelle de néophyte proche en décapotable, ceci avait déjà été annoncé alors de la suffrage citoyenne. Mais c’est un chemin de encore qui sera de néophyte proche aux automobilistes, le chemin de Bonald.
Cela émane d’une incorporation convaincu les élus et le Collectif personne, constitué surtout derrière des commerçants. Elle a eu pièce lundi. Lors de cette duel, Gilles Tulsa, récemment accédé au réunion communal a annoncé qu’il démissionnerait si le chemin n’voyait pas grand. « Dès cette réunion nous avons convenu avec Gilles que nous allons trouver des solutions pour aller dans ce sens, explique Emmanuelle Gazel à Midi Libre. Aujourd’hui (mardi), on s’est réuni pour mettre ce projet un peu plus dans le détail et renoncer finalement à la piétonnisation parce que cela nous permet de réaliser tous les autres projets qui nous tiennent à cœur. »
« Dans notre projet de campagne, c’est une ligne »
Et de comploter : « On en parle beaucoup, mais ce n’est pas LE projet du mandat. Dans notre projet de campagne c’est à peine une ligne. D’autres projets nous tiennent à cœur comme la restauration scolaire, la rénovation du cinéma, la construction d’un synthétique, la végétalisation des cours d’école, du centre-ville… Tous ces projets sont plus importants que la simple piétonnisation. On a fait unanimement ce choix. »
Place Foch marcheuse strictement en été
La définition annoncée, sézig va encore autre part que les boulevards de Bonald et de la Capelle. « On pourrait envisager que la place Foch reste uniquement piétonne l’été », ajoute la procureur. Pour le chemin de La Capelle, à indécis conscience en définitive, « cela devrait être effectif à la fin du mois ».
Pas d’élections anticipées
En totalité bordereau de légende, la normal abdication de Gilles Tulsa n’entraînerait pas de nouvelles élections. « Il faut qu’il y ait 24 élus et nous sommes 31, ce n’est pas la démission de Gilles Tulsa qui fait basculer vers une élection anticipée, assure la maire. Sa démission serait incompréhensible, parce qu’il a plus que ce qu’il demande. Ce n’est pas un épiphénomène, la piétonnisation n’était pas l’alpha et l’oméga du mandat, mais c’est un projet pour lequel on s’est battu. Si on revient en arrière c’est un acte important pour l’équipe. On continue à se battre pour le projet global. »
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