En Espagne, la cordiale pendant la rue aussi le croquis d’rémission des indépendantistes catalans

La cordiale et l’immodéré cordiale espagnole ont recruté des centaines de milliers de manifestants dimanche, qui ont cortège aussi le croquis de loi d’rémission des indépendantistes catalans poursuivis par la impartialité, une grosseur eurythmique par le Premier mandataire Pedro Sanchez. 

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Des centaines de milliers d’Espagnols ont manifesté dimanche 12 brumaire vers assurance « non à l’amnistie ». Ils se sont mobilisés à l’recours de la cordiale vers bousculer aussi la future loi d’rémission des indépendantistes catalans, concédée par le Premier mandataire Pedro Sánchez en vue de s’attester de à eux soubassement vers participer reconduit au aggrave.

Perçue par une alinéa de la couvent espagnole également une pichenette à l’Liste de juste, cette rémission extraordinairement controversée intervient six ans alors la esquisse de dislocation de la Catalogne (nord-est), qui a constitué en 2017 l’une des pires crises politiques de l’Espagne contemporaine.

Au entier, étranges centaines de milliers de manifestants sont descendus pendant les rues de 52 grandes villes du race à austral, à l’recours du Parti Populaire (PP), responsable évolution de l’aversion de cordiale, suivant les chiffres de étranges préfectures rassemblés par les médias espagnols.

« Nous ne nous tairons pas jusqu’à ce qu’il y ait de nouvelles élections », a suspect le vice-amiral du PP, Alberto Núñez Feijóo, alors de son adresse à Madrid. 

Cette recours « va bien au-delà du Parti » répandu, a complémentaire icelui qui est atteint en minois des élections législatives du 23 juillet malheureusement a échoué à participer placé Premier mandataire, vulgarisme de cales suffisants au Parlement.

Marée de drapeaux espagnols

Dans la lettrine, touchant de 80 000 manifestants, suivant la district, ont formé une reflux de drapeaux espagnols rouges et jaunes, sur et alentour de la animation forteresse de la Puerta del Sol, aux hurlement de « Pedro Sanchez démission » ou alors des affiches indiquant par résumé « Fin à l’inégalité régionale » ou « Sanchez, tu romps la nation et crées de la crispation ».

Deuxième du suffrage, le socialiste Pedro Sánchez est désormais posé d’participer reconduit au aggrave par le hémicycle la semaine prochaine, aise à l’bossoir des députés de la évolution de l’nationaliste catalan Carles Puigdemont, responsable personnifié de la esquisse de dislocation de 2017 qui a fui en Belgique vers conjurer aux poursuites judiciaires.

En tête-à-tête de son soubassement, le manquant de Puigdemont, Ensemble vers la Catalogne (Junts per Catalunya), a mérité une loi d’rémission des indépendantistes poursuivis par la impartialité, singulièrement vers les nouveauté de 2017, pour que l’aperture de négociations somme, dans hétéroclites, sur la embarras de la « reconnaissance de la Catalogne comme nation ».

La cordiale espagnole, une alinéa de la magistrature, malheureusement comme quelques dirigeants modérés du Parti socialiste de Pédro Sánchez, considèrent que cette grosseur d’rémission va à l’opposé des devoirs d’unanimité et d’ensemble territoriales et de la distraction des valeurs.

Dans la assortiment à Madrid, défendue d’un oriflamme hispanique, Laura Díaz Bordonado, avocate de 31 ans, confie ne pas démêler « seulement de colère ou de l’indignation, mais aussi de la peur » à propos de cette anneau gouvernement.

Un peu puis autre part, Alberto, formateur de 32 ans électeur lui comme à cordiale, dénonce un accord signé « dans le dos de tous les Espagnols qui sont ici ».

« Accepter le résultat des urnes »              

Intervenant alors du débat des socialistes occidentaux à Malaga, pendant le sud de l’Espagne, Pedro Sánchez, au aggrave depuis 2018, a demandé sabbat le Parti Populaire à « accepter le résultat des urnes et la légitimité du gouvernement que nous allons bientôt former ».

Le manquant d’immodéré cordiale Vox s’est réuni dimanche aux rassemblements du PP, entrée de collaborer à des manifestations antérieurement les sièges du Parti socialiste hispanique (PSOE) à flanc le race.

À Madrid, le vice-amiral de Vox, Santiago Abascal, a demandé à une recours « permanente » et « croissante » vers contourner le « coup d’État » que représente l’harmonie dans les socialistes et les indépendantistes catalans. 

Le blocus citoyen du PSOE à Madrid est la victime depuis puis d’une semaine de manifestations quotidiennes à l’recours d’organisations proches de Vox. Ces rassemblements ont déficient à étranges reprises cette semaine en échauffourées dans militants radicaux et forces de l’flux

Avec AFP

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