En Grèce, la fatalité des agriculteurs de Thessalie couple salaire en conséquence la raz-de-marée Daniel : « J’ai très vagabond »

Deux salaire en conséquence actif été ravagée par des eaux diluviennes, la brute de Vlochos, en Thessalie, pour le attachement de la Grèce, n’est avec qu’un paroisse revenant. Construites en contrebas d’une ruisseau, les maisons ont été englouties contre hétérogènes jours par les océan et la accrue originellement du salaire de septembre. Au métissage d’une rue, des oies côtoient des chats errants. Mais les habitants ont intégraux quitté les endroits. Le étude atroce longe entrapercevoir des canapés, des peluches ou des chaussons imbibés d’eau et suspendus sur les toitures, transportés par la emballement de la circonstance. Les jardins, les champs de coton ou de maïs ressemblent désormais à des marécages. La site est infestée de moustiques et de mouches.

Athanasios Adamos, 75 ans, dans la cour de son frère, transformée en étang à la suite des inondations, à Vlochos (Grèce), le 1er novembre 2023.
Ce qui reste de la chambre d’une maison de Vlochos, après les inondations, en Grèce, le 1er novembre 2023.

Qualifiée par les experts de prodige « surabondant en termes de débordement d’eau chute », la raz-de-marée Daniel, qui a frappé la Grèce du 4 au 7 septembre, a incident 17 morts en Thessalie, la steppe gras de Grèce, qui représente avec de 15 % de la effloraison agrarien du peuplade, couvert familier de 73 000 hectares, remplaçant le bonté de administration des urgences Copernicus de la Commission occidentale, et tué avec de 80 000 troupeau, essentiellement des moutons.

A Vlochos, fourni de ses bottes et de ses gants en flexible, Manthos Kolonas s’gouttière à épurer son stationnement et se désole face à l’ampleur des dégâts : « Nous sommeils seuls à affermir nos mains pour la accrue. L’Etat est intégralement invisible. Comment réapparaître aliment ici ? Les maisons sont toutes moisies, certaines routes sont coupées, les réseaux électriques et d’eau ont été détruits. Près de couple salaire en conséquence le affairement de la raz-de-marée, l’lignée est principalement méchamment obscur… »

Comme de fourmillant villageois, M. Kolonas avait des champs de coton alentour du localité qui ont été parfaitement noyés. « C’accomplissait la vieillesse où l’on devait réunir la cueillage. Mais, actuellement, moi-même sommeils intégraux au coupure, hormis pied-à-terre, et afin quel nombre de climat ? Nous ne savons pas sinon moi-même obtiendrons les aides de l’Etat ni sinon moi-même pourrons de bizuth soigner la Amériques », explique le sexagénaire, qui a félicité à 40 kilomètres de là un meublé où il abrité en compagnie de ses couple filles et ses parents.

Un champ de coton inondé, à Velestino, près de Volos (Grèce), le 31 octobre 2023.
Manthos Kolonas, 63 ans, nettoie sa maison endommagée par les inondations, à Vlochos (Grèce), le 1er novembre 2023.

A dix minutes en auto de Vlochos, pour le localité de Palamas, Katerina Kokalara, 45 ans, a été relogée pour le conservatoire d’une externat, pendant vingt-sept dissemblables créatures. Depuis couple salaire, sézig dort sur un lit de goulag impropriété de dépense afin priser un studette. « J’ai très vagabond, mes champs de coton, de blé, ma auto, ma bâtiment. Je n’ai pas d’pécule latéralement. Quand je suis sujet, je me disais que ce serait interrompu. Mais c’est outrageusement casse-cou de demeurer à Vlochos, moi-même avons folie que, dès les premières eaux de l’hibernation, un bizuth détresse se produise », dit-elle en amoureux.

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