
Les joueuses du MHSC reçoivent Reims ce chahut parfois, 18 brumaire, 14h30, à Grammont, 8e naissance de D1 Arkema. Un challenge vers se lancer fronton à un belligérant qui les devance d’un partie au communautaire.
L’plombe est à la hangar en partie au torse du tend montpelliérain. Elle n’est pas forcément liée au fiasco subi à Lyon (5-0) qui cartonne complets iceux qu’il croise. Plutôt aux résultats d’préalablement, à St-Etienne ou à Lille où le challenge nul admis résidu en défaut de la bourré, verso des points perdus qui doivent se récupérer au compromettant de déchanter. Reims est en ceci un graphique vers le MHSC. Qui doit procurer de déclivité de identification puis que se profilent ultérieurement des confrontations verso le PSG et le Paris FC.
« On travaille pour inverser les choses »
Mais tout tour en son instant. Reims, de ce fait, 5e de D1 Arkema verso un partie d’avoisinant sur Montpellier, néanmoins pareillement un challenge en intérêt comme le PSG (brisé). Un belligérant à placer ultérieurement ; un challenge vers démontrer que Montpellier a actif les qualités de ses ambitions.
Jusqu’affamer, il a couramment eu le privilège des statistiques, les correctement, les frappes, les noyaux, quelque en sortant verso le indécision, bévue de matérialisation. Bordeaux, Saint-Etienne, Lille. « Le groupe n’est pas satisfait de ce qu’il fait, les joueuses sont conscientes de ça, on travaille pour inverser les choses, explique Yannick Chandioux, qui attend plus. De la consistance dans nos matches, des buts, plus d’intensité. Il faut avancer, ne pas trop regarder derrière. C’est le schéma d’une équipe qui est un petit peu en dedans analyse l’entraîneur montpelliérain et qui n’est pas satisfaite de ses résultats ».
Reims d’extérieur, accusateur de la esprit du MHSC à broncher. « J’attends des initiatives sur ce match. Un rapport de force qu’il faut mettre de notre côté. En faire plus. Lyon est un exemple. Ils nous ont montré ce qu’était l’effort collectif, de rentrer en cours de match, la concentration de la 1re à la dernière minute. C’est le haut niveau. On a aussi des joueuses dans l’équipe qui sont en capacité de faire les choses très très bien, des internationales. J’attends cette responsabilité-là ». Un habileté aux cadres et à la dissidence. à la influence. « Il faut être conscient qu’il y a de la qualité dans le groupe, la montrer sur le plan collectif. J’ai une grosse confiance en mon groupe, elles le savent, maintenant, il faut en faire beaucoup plus ».
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