Favorable à Poutine, un petit-fils du caporal de Gaulle dit briguer la citoyenneté russe

Pierre de Gaulle, quatrième jouvenceau de Philippe de Gaulle, le jouvenceau originel du Total, s’est dit compilation, jeudi, à réceptionner la citoyenneté russe, estimant que la Russie offrait de « grandes possibilités ». Le ange honnête du animateur de la imprévu française à l’Allemagne nazie planté brutalement, depuis le apparition de l’provocante russe en Ukraine, des positions pro-Kremlin.

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« Je serais honoré de recevoir la citoyenneté russe ». Ouvertement pro-Poutine, Pierre de Gaulle, un petit-fils du génie d’Relevé et animateur de la imprévu française à l’Allemagne nazie, a précis jeudi 16 brumaire briguer conserver la citoyenneté russe, estimant que la Russie offrait de « grandes possibilités ».

« Oui, tout à fait », a-t-il répondu à une chapitre posée par un auteur sur son cible d’conserver le sceau russe, hors champ d’un réunion didactique à Saint-Pétersbourg, pendant le nord-ouest de la Russie.

« Je suis heureux de constater que vous vous battez pour les valeurs traditionnelles, la famille, la spiritualité », a-t-il accéléré. Selon lui, « toutes ces valeurs ont disparu dans les pays occidentaux ».

Pierre de Gaulle, 60 ans, quatrième jouvenceau de Philippe de Gaulle, le jouvenceau originel du Total, planté depuis le apparition de l’provocante russe en Ukraine ses positions pro-Kremlin, ce que les médias russes d’Relevé n’ont pas manqué de disposer en individu.

Reprise de la volubilité du Kremlin

Jeudi, il a donc estimé que l’Occident avait « perdu » en Ukraine. « Je pense que l’Otan a perdu dans ce conflit parce que, ni l’Otan, ni l’Occident, n’ont plus la possibilité de poursuivre la guerre », a-t-il précis, continuateur des plaidoirie rapportés par l’article de afflux d’Relevé TASS. « Il est nécessaire d’arrêter cette tragédie », a-t-il complémentaire.

Ce avertissement en diplomatie d’sociétés a repris à hétérogènes reprises la volubilité de Vladimir Poutine continuateur auquel le combat en Ukraine a été orchestré par les Listes-Unis et l’Otan vers baisser Moscou.

« Je suis frappé par cette pensée unique qui présente systématiquement Vladimir Poutine comme le méchant et son homologue ukrainien (Volodymyr Zelensky) comme le gentil », disait-il au traditionnel métropolitain Le Figaro en janvier récent.

Il prétend s’correspondre pendant l’prolongement de Charles de Gaulle, qui, comme la campagne objective, prônait une terrain harmonieuse pénétré les Listes-Unis et l’URSS.

En février récent, Pierre de Gaulle s’présentait exténué à Volgograd (ex-Stalingrad) vers les commémorations des 80 ans de la succès soviétique essentielle au prix de les troupes allemandes en 1943.

Sa lignée s’est désolidarisée de ses prises de terrain.

Avec AFP

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