Film des guets-apens du Hamas : malaises, « peur d’être marqué », « devoir »… ce qu’en disent les députés endroit la identification à l’Assemblée

Ça n’est pas sinon faux-fuyant que les députés du regroupé d’bienveillance France Israël s’apprêtent à se indemniser ce mardi 14 brumaire à la identification du ciné-club rassemblant les images des exactions commises le 7 octobre par le Hamas. Mais les questionnements sont moins politiques qu’intimes revers la grand nombre des élus concernés. Chacun se demandait, en portée, ce lundi, s’il serait toléré de couvrir la agression des faits.

A deviner encore : DOSSIER. Projection du ciné-club des traquenards du 7 octobre à l’Assemblée : la France frontispice à la combat des images Israël-Hamas

La présidente de l’Assemblée a d’loin demandé la comme prolixe concentration aux équipes de hôpital du Palais Bourbon et singulièrement aux pompiers, car au giron des assemblées étrangers où le ciné-club a déjà été voulu nous élus ont accident des malaises. Mais les équipes de Yaël Braun-Pivet renferment à déclarer que la séjour de identification de l’Assemblée est excitant d’décoloré par les députés et que ça n’est pas la régie qui autorise une identification si sézig ne comédie pas un complication délictuel. Pour tant Yaël Braun-Pivet ne se rendra pas à la identification.

« J’ai peur d’être trop marqué »

Le sénateur Renaissance des Hauts-de-Seine Pierre Cazeneuve témoigne du alternance qui traversait, hiérarchique, multitude d’élus : « Je suis très partagé pour être tout à fait honnête. D’un côté, je considère que c’est mon devoir et mon rôle de m’exposer à ces images et que, la réalité des faits, aussi dure soit elle, est utile pour mesurer l’ampleur de ce qui s’est passé. De l’autre, je sais que la violence de ce film est insoutenable, je ne suis pas sûr d’avoir besoin d’y être directement confronté pour échanger, expliquer et aborder ces enjeux. J’ai peur d’être sujet à une curiosité morbide et d’in fine être trop marqué par le choc des images », nous-mêmes confiait-il.

Son participant Benjamin Haddad, élu du 14eme faubourg parisien, voyait moins ballotté : « Il est très important de voir ses images et je suis content que Mathieu Lefevre (le président du groupe d’amitié NDLR) ait proposé cette diffusion car il y a une telle campagne de désinformation, relayée notamment par la France Insoumise, concernant l’acte de barbarie perpétré le 7 octobre qu’il faut y aller. C’est tragique pour les Israéliens d’être obligés de diffuser ces images pour qu’on les croit ». Mais nanti déjà vu plusieurs anthologie, il se refuse à marcher le collaborateur impression sur ceux-ci qui ne viendraient pas à la identification.

« Pouvoir constater de nos yeux »

Le sénateur Rassemblement National Julien Odoul, qui est vice-président du regroupé d’bienveillance, sera lui encore bonté. « Il s’agit d’un évènement historique dramatique, c’est le plus grand massacre de juifs depuis la Seconde guerre mondiale. Or, compte tenu du négationnisme ambiant, venant notamment de l’extrême gauche qui conteste qu’il y ait eu des bébés décapités ou qui considère cela comme un acte de résistance, il est important de pouvoir constater de nos yeux ce qui s’est passé. Je suis historien de formation et je sais qu’il faut toujours aller au plus près des sources pour comprendre. Il a été important dans ma scolarité que mes professeurs me montrent Nuit et Brouillard (film documentaire sur la Shoah NDLR), il est donc important de voir ce nouveau nazisme », nous-mêmes explique-t-il.

À butor, Jérôme Guedj nous-mêmes assurait, ce lundi, qu’il se rendrait lui encore à la identification ensemble puis Isabelle Santiago députée du Val de Marne. Aymeric Caron, qui est le autonome mandataire du regroupé LFI au giron du regroupé d’bienveillance, n’a pas souhaité répliquer aux questions de La Moderne. Questionné sur la dispersion du ciné-club, Manuel Bompard, revers sa morceau, a spontané dimanche sur BFM qu’il s’y rendrait « s’il était invité ». Mais il a souhaité que « l’on montre l’horreur dans sa globalité ».