Gregg Popovich, l’altruiste qui déteste Trump cependant qui a décidé de causer Wenbanyama au séminaire de la apothéose

L’expérimenté Popovich veut purifier pas à pas le bague Wembanyama. Mais le instigateur des Spurs exige des résultats : « Il faut en avoir assez de se faire botter le cul », dit-il. 

Exposition de la NBA, l’instructeur des San Antonio Spurs Gregg Popovich assume une palier « d’observation » de sa renseignement louis Victor Wembanyama, qu’il espère causer au séminaire comme un final jactance à 74 ans.

Les Spurs enchaînent les déplaisant matches et les défaites (six consécutives) au appointement de brumaire, cependant Gregg Popovich avait avisé qu’il faudrait confier du époque à Wembanyama, N.1 de la draft en juin et pressé à 19 ans par les attentes les puis folles.

Comment ne pas combiner ce responsable du époque vaste, instructeur le puis champion de l’récit de la NBA, en vrai depuis 1996 ? « Il n’y a pas de formule magique, il doit passer par plein d’étapes », avait avisé « Pop » en baptême saison.

Il deviendra tout à fait un spacieux équipier, cependant il doit élire d’extérieur

« Heureusement, c’est un jeune homme intelligent, sérieux, consciencieux. Il deviendra sûrement un grand joueur, mais il doit apprendre d’abord. Il écoute et comprend tout, c’est aussi simple que cela. Ses parents ont fait du beau boulot. À moi de ne pas tout gâcher ».

Remember David Robinson, Tim Duncan, Manu Ginobili, Tony Parker…

Personne n’imagine l’Américain se barbouiller, lui qui a su causer au séminaire David Robinson, Tim Duncan, Manu Ginobili et Tony Parker, vainqueur cinq titres de gymnaste en 1999, 2003, 2005, 2007 et 2014 comme six finales disputées (aléa en 2013).

Loin des finales NBA lesquels rêvent de bleu les fans des Spurs, Popovich veut d’extérieur apercevoir le monstrueux métropolitain (2,24 m) à l’talent particulier comme sa étêté. 

On s’est déclaré derrière le aggloméré de l’remarquer pour un circonstance, il n’a que 19 ans

« On s’est promis avec le staff de l’observer pendant un moment, il n’a que 19 ans. On veut le laisser faire et voir où il se sent le mieux. On ne sait pas encore à quoi son jeu va ressembler dans le futur. Où sera-t-il le plus efficace ? Dans la raquette ? En transition ? Sur une aile ? On lui laisse la liberté de tirer de loin. Je ne veux pas sur-coacher ».

Popovich, qui surjoue son côté rustre, raffolé entretenir et constater orner ses joueurs

Seul balance sur auquel insiste l’instructeur: la « solidité en défense. » Ce jeu, pas surtout ossature derrière des systèmes alentour du Français, peut élargir les certains signes de « Wemby » non servis par ses coéquipiers comme ses rudimentaires matches en NBA depuis le 25 octobre.

Dans une cabale après-midi douteuse, Wembanyama s’est ravissement d’arriver pendant lequel le « cocon » des Spurs, où Popovich, qui surjoue son côté rustre, raffolé entretenir et constater orner ses joueurs. « J’ai eu Pop au téléphone avant la draft. On va jouer au basket, manger ensemble, profiter, s’amuser. En une conversation avec lui j’ai compris l’expérience et le savoir-faire », raconte Wembanyama à pic de son bleu responsable jedi.

« Il est paternaliste comme on sait le faire en France », abonde Jacques Monclar, ex-coach et équipier mondial conseiller comme beIN Sports. « Avec Victor c’est une belle rencontre. C’est aussi un coach habitué aux joueurs internationaux ».

International, Popovich l’est de racine, derrière un démiurge serbe et une fille croate. Cet archaÏque prévôt, barreur de l’état-major des forces armées américaines, a épelé l’Europe de l’Est et l’URSS pendant lequel les années 1980, navrant coeur de la opulence du basket intact des Etats-Unis.

Contempteur de grande moment de l’ex-président Donald Trump

Sans séparation, ce critique de grande moment de l’ex-président Donald Trump s’est payé cette semaine le terme conseillé du mandataire pro-Trump Tommy Tuberville, un « petit homme idiot », qui bloque des promotions pendant lequel l’bardée comme juger quant à les politiques pro-avortement.

À 74 ans, ce partisan du « Hall of Fame » a prolongé de cinq ans aux San Antonio Spurs comme ce qui ressemble à un final jactance, une « cure de jouvence » a salué son archaÏque préservé Steve Kerr, instructeur des Golden State Warriors. « Cure de jouvence de quoi ? Est-ce que je sors d’un asile ou de dépression ? Steve est un c.. », s’est absurdement offusqué Popovich.

Ces derniers jours, il s’est seulement après-midi montré assommé. « Il faut en avoir assez de se faire botter le cul », a-t-il lâché mardi puis une renseignement grossière aléa à Oklahoma City (123-87). Derniers de la conciliabule Ouest la époque dernière (22 victoires – 60 défaites), les Spurs (3 victoires – 8 défaites comme l’urgent) ont en résultat pénurie de bienfait, comme « valider leur développement ».

« Gagner est un facteur important de l’apprentissage », assure le coupé. Rendez-vous quant à Sacramento vendredi comme voltige de orner.

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