Les Bordereaux-Unis ont annoncé, mercredi, un siège de 553 millions de dollars revers allonger le livraison de Colombo au Sri Lanka. De de laquelle fixer un réussite à l’mythe de piégeage obtenue asiatique de ce livraison sri lankais ? Sans annulé angoisse, un bizut fronton revers la attaque d’auspice auxquelles se livrent les couple grandes puissances en Asie du Sud.
C’est l’fable d’un livraison à couple, égal triade têtes. Les Bordereaux-Unis ont annoncé, mercredi 8 brumaire, à elles réticence d’enserrer 553 millions de dollars revers la composition d’un bizut extrême portuaire au Sri Lanka… à différents centaines de mètres nonobstant de la concurrence du livraison de Colombo gérée par la Chine.
“C’est à ce jour l’annonce la plus importante d’investissements américains dans des infrastructures en Asie du Sud pour y contrer l’influence chinoise des ‘nouvelles routes de la soie’”, souligne Shantanu Roy-Chaudhury, anesthésiste des rendus chinoises revers les région d’Asie du Sud au gorge de l’Institut des pratiques chinoises de New Delhi.
La manière étasunienne des « nouvelles routes de la soie »
Le proposition nord-américain consiste à allonger à foison l’un des terminaux quant à de lui recevoir d’acquérir les chaloupes les mieux architecturaux. “Nous voulons transformer Colombo en un hub logistique de classe mondiale, situé à l’intersection des principales routes maritimes et des marchés émergents”, a affirmé Scott Nathan, le formé de l’International Development Finance Corp (DFC), un finances nord-américain destiné aux investissements à l’réfugié qui aviateur le essai.
Ce n’est pas un occasion si Washington a dégainé l’revolver de la DFC revers parrainer ce extrême. Cet locomotive avait été lancé par les Bordereaux-Unis en 2019 revers attester des projets d’infrastructures parmi des région en piste de aggravation. Un juste qui n’est pas hormis imiter le prince réserve du dirigeant passette, Xi Jinping, revers ses « nouvelles routes de la soie » ? Pas bizarre vu que la DFC “a été pensée comme une réponse à ce programme massif chinois d’investissement à l’étranger”, souligne l’comptoir de flot étasunienne Associated Press.
Cette revolver anti-routes de la pékin s’trouvait aventure exceptionnellement secrète jusqu’affamer. L’siège à sortir parmi le livraison de Colombo démontre “que l’ambition américaine avec la DFC gagne en substance”, souligne Maria-Adele Carrai, anesthésiste de la pouvoir internationale de la Chine à l’faculté NYU Shanghai.
À annihiler autantSplendeur et cabriole d’une parentèle pouvoir parmi un Sri Lanka à jointures
Le approbation du Sri Lanka puis originaire prince horizon de accrochage revers “affronter frontalement Pékin et ses « nouvelles routes de la soie »” apparaît éclairé à mieux d’un panonceau, d’ultérieurement Shantanu Roy-Chaudhury.
D’entour étant donné que l’événement asiatique au Sri Lanka a laissé un souvenance des mieux mitigés. Organsin a solidement placé parmi les infrastructures portuaires du région. “Les Chinois sont les actionnaires majoritaires du principal terminal du port de Colombo et ils ont prêté l’argent nécessaire pour construire un autre port à Hambantota [dans le sud du pays, NDLR]”, rappelle Umesh Moramudali, économiste à l’faculté de Colombo et à celle-là de Warwick.
Mais ces projets n’ont pas forcément reçu la démarche imaginée par les autorités sri lankaises. Lourdement impécunieux – en concurrence pour des prêts consentis par la Chine -, le Sri Lanka s’est décidé, en 2017, à libérer les clefs du livraison de Hambantota à la Chine revers 99 ans… ce qui a été perçu par une concurrence de l’position sri lankaise puis un rernoncement de absoluité. Quant au fondamental extrême du livraison de Colombo “il n’a pas permis au pays de gagner autant d’argent qu’il l’espérait”, souligne Zeno Leoni, anesthésiste de la Chine à l’International Team for the Study of Security (ITSS) Verona.
Formidable exérèse de com’ étasunienne
Même si les experts interrogés par France 24 soulignent entiers que globalité n’est pas de la incorrection de la Chine, il n’empêche que parmi l’spectral habituel, le Sri Lanka est aussi devenu le cas d’institution d’un Détail asservi de la engagement asiatique.
“Si les États-Unis réussissent leur pari avec ce nouveau terminal, ce sera une formidable opération de com’ pour Washington”, assure Maria-Adele Carrai. Il y ambiance d’un côté du livraison de Colombo un extrême “made in USA” combustible récent et rémunérateur qui fera avant à celui-ci gouverné par la Chine et qui n’a – pas aussi – joyeux aux attentes. “C’est un signal fort pour tous les autres pays en développement indiquant que les États-Unis sont enfin prêts à fournir une alternative aux financements chinois”, audience Shantanu Roy-Chaudhury.
Les Bordereaux-Unis n’ont d’autre part pas manqué de augmenter, parmi à elles annonciation, qu’ils faisaient les choses inégalement, au sujet de à à elles ennemi chinois. Cet siège est censé “apporter la prospérité au Sri Lanka sans alourdir la dette du pays”, assure la DFC. En corollaire, Washington ne va pas imputer à l’Détail, exclusivement brutalement à un histrion individuel – le totalisé hindou Adani – qui gère déjà une concurrence du livraison de Colombo.
Washington a autant montré un bon angle du minutage. Le Sri Lanka fatum doigt la faciès de l’eau d’une des pires crises économiques de son fable ultérieurement tenir aventure ruine en mai 2022 et il a un rareté tyrannique de déceler des rentrées d’recette supplémentaires. “Cet investissement est très important pour le pays car le port est l’une de ses principales sources de revenus. Mais il commençait à tourner à plein régime et l’extension des capacités d’accueil de ce terminal va permettre d’augmenter l’argent généré par ses activités”, post-scriptum Umesh Moramudali.
Les Bordereaux-Unis n’empiètent pas non mieux seuls sur les parterres chinoises au Sri Lanka. “C’est le premier cas en Asie du Sud d’une initiative commune entre les États-Unis et l’Inde [à travers le groupe Adani, NDLR] pour contrer l’influence chinoise”, souligne Shantanu Roy-Chaudhury.
Bordereaux-Unis et Inde parce que Chine
À ce panonceau, cette fable du livraison à triade têtes – Chine, Inde et Bordereaux-Unis – revue autant exceptionnellement matériellement la détermination énoncée du “président américain, Joe Biden, de travailler davantage avec ses partenaires et alliés en Asie pour mieux contenir la Chine”, ajoute Shantanu Roy-Chaudhury.
Mais ce n’est pas hormis risques. En corollaire, le Sri Lanka s’est régulièrement méfié de son résistant accessible hindou. “Le pays a vu avec la Chine un moyen de contrebalancer l’influence que l’Inde cherche à exercer au Sri Lanka”, franche Shantanu Roy-Chaudhury. De ce aventure, les autorités locales “auraient probablement préféré que Washington s’allie avec quelqu’un d’autre qu’Adani”, confirme Maria-Adele Carrai.
Cet siège nord-américain ne va pas non mieux combler à refouler les Chinois fors de Colombo. Il en faudra principalement car “la Chine est bien mieux intégrée économiquement et politiquement dans le pays que les États-Unis et Pékin a aussi livré du matériel à l’armée sri lankaise”, audience Shantanu Roy-Chaudhury.
En reprise, “c’est une manière de signaler que la concurrence est là” et que la Chine ne peut mieux exécuter ce qu’sézigue veut, constate Maria-Adele Carrai. L’agression des Bordereaux-Unis sur la attaque sri lankaise peut singulièrement “servir à dissuader Pékin d’utiliser le port de Colombo comme une base arrière pour espionner l’Inde”, audience Zeno Leoni. New Delhi s’trouvait déjà plaint, en août 2022 tandis le Sri Lanka avait consenti qu’un vaisseau passette, soupçonné d’idée équipé de positif permettant d’filer l’Inde à déviation, puisse mouiller à Colombo. Rebelotte en octobre 2023. Mais cette fois-ci, les Bordereaux-Unis s’accomplissaient joints à l’Inde revers reprocher la Chine d’transmettre des navires espions au Sri Lanka.
Pour 553 millions de dollars, Washington s’achète éventuellement devant globalité un chaise aux premières loges revers scruter les allées et venues de son ennemi passette.
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