Deux députées de l’Hérault, Laurence Cristol et Emmanuel Ménard, ont visionné les terribles images des massacres du Hamas, dévoilées ce mardi 14 brumaire à l’Assemblée nationale. Elles témoignent.
Les 120 députés amas de la agio du rassemblé d’sympathie France-Israël avaient été invités à visualiser, ce mardi 14 brumaire, le série des massacres perpétrés par le développement musulman palestinien. Un raccord étroitement de 50 minutes, exécuté par les autorités israéliennes à appareiller d’images issues des téléphones des amas du Hamas tués, ou filmées par des victimes et des secouristes.
Un série montré à l’Assemblée nationale, lorsque d’une commission forcément excessivement personnelle auxquels un duo de députées de l’Hérault ont assisté. Elles ont reçu de avancer, à endiablé, à l’aboutissement de la cinérama.
« On a vu la folie des hommes »
« Je pense que tous ceux, présents, qui ont vu ces images aujourd’hui ne ressortiront pas indemnes » estimait de la sorte Laurence Cristol. Qui avait estimé « indispensable », en beaucoup que jambe, au néné de l’Assemblée nationale, du rassemblé d’sympathie France-Israël, et du rassemblé légat pour l’antisémitisme, « de voir la réalité des actes. Et on a vu la folie des hommes. On voit des images brutes, sans commentaires, c’est encore plus bouleversant. Ce sont les images d’un matin comme les autres, et, soudain, surgit une attaque d’une violence sans nom. Nous sommes tous choqués » avouait Laurence Cristol évidemment excessivement émue, la organe tremblante.
« Nécessaire de montrer ces images »
Particulièrement touchée quand, Emmanuelle Ménard (sinon avis, jambe sézigue ainsi du rassemblé d’sympathie France-Israël) confiait difficilement : « C’est glaçant. J’ai l’impression d’être pétrifiée de l’intérieur. Ce que l’on a vu, ça vous prend aux tripes, ça vous saisit. On s’attend à voir des gens tués, des pleurs, des cris, etc., nous nous étions préparés à ça. Mais le plus terrible, c’est la joie des terroristes. Ils sont joyeux, mais vraiment, heureux de faire ce qu’ils sont en train de faire. C’est monstrueux ».
Et la Biterroise d’affectionner qu’il est seulement « nécessaire de montrer ces images, à des journalistes, à des parlementaires, notamment. C’est important. »
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