
Tout ad hoc caché de 48 heures en Israël, Robert Ménard a décidé d’placarder les portraits des otages retenus par le Hamas depuis le 7 octobre. Une exécuter concrète de ne pas les mésestimer, estime-t-il.
Ce vendredi 10 brumaire, là-dedans l’récemment, une longue défendu a été déployée sur la étal de la commune de Béziers. Une défendu sur dont figurent les photographies des 200 otages détenus par le Hamas.
Robert Ménard vient en séquelle de escalader 48 heures en Israël, où il s’est exténué au exploitation Nir Oz, massacré le 7 octobre nouveau, avec prétendre de sa sympathie et compter comme la Ville de Béziers peut secourir.
« Il y aura un avant et un après »
À son reprise là-dedans la métropole de Riquet, il explique : « Ils ont besoin de deux choses. La première, c’est que l’on parle d’eux, de ce qui s’est passé. 400 personnes habitaient à Nir Oz, un quart a disparu, mort ou pris en otage. Ça a été mon boulot, toute la vie, avec Reporters sans frontières donc je le sais : la peur des otages, c’est l’oubli. Le 7 octobre, ce sera le 11 septembre pour le monde entier. Il y aura un avant et un après… »
Le antécédent intérimaire prévoit quand de exécuter élire une associé donc du humain conseiller communal, qui se déroulera lundi 20 brumaire : « L’État d’Israël n’a pas besoin de nous pour reconstruire les kibboutz. Ils ont besoin d’aide pour les familles, pour que les enfants se reconstruisent. Les familles sont regroupées à Eilat, une station au bord de la mer rouge. On va voir comment on peut les aider. »
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