
Le leader de la RATP rencontrait état ce vendredi 10 brumaire au sanction du Garde des Sceaux avec « prise illégale d’intérêt ». Le mandataire de la Justice est soupçonné d’affairé administré ses charges avec régir des justificatifs bruissement des magistrats du Parquet individu pécuniaire.
Jean Castex en avoué d’Éric Dupont-Moretti. Même si l’vieillot Premier mandataire n’est « pas l’avocat » de Garde des Sceaux, puisque il l’a dit préalablement la Cour de Justice de la État (CJR). Mais au sanction de icelui qu’il traite l' »excellent garde des Sceaux », l’ex-chef du gérance se démène vendredi avec amadouer les juges de l’disette de somme mêlée d’intérêts.
L’affaire des « fadettes », les mémoires téléphoniques détaillées d’avocats que des magistrats du Parquet individu pécuniaire (PNF) ont conte reprocher dans lequel un classeur de Nicolas Sarkozy, stimulant la ténacité d’Éric Dupond-Moretti principalement ménestrel du traverse, Jean Castex n’en avait pas convenu converser, à l’date.
Son vigilance mobilisée sur le déconfinement post-Covid
Il l’a revue préalablement les magistrats de CJR. « À ce moment », serré monsieur sa avènement à Matignon à l’été 2020, son vigilance est mobilisée par un prédisposé de élagage. « Un sujet peut-être pas aussi important »: le déconfinement post-Covid, ironise-t-il.
L’actuel leader de la RATP est état au sanction couque avec « prise illégale d’intérêt » d’Éric Dupond-Moretti. Le mandataire de la Justice est soupçonné d’affairé administré ses charges avec régir des justificatifs bruissement ces magistrats du PNF.
L’ancien Premier mandataire récupère « le bébé »
L’ancien Premier mandataire avait hérité, immodérément tardivement conformément l’dénonciation, des dossiers problématiques de son agitation des Sceaux. Avant ceci, lui-même déjà lancé une inquisition administrative vers les magistrats, ce qui lui est reproché.
Mais, puisque il le dit, c’est le Premier mandataire qui récupère « le bébé ». Et doit stopper s’il faut prendre, ou non, le Conseil élevé de la magistrature, chargé de la discipline des magistrats.
« Je ne suis pas sensible à quelque pression »
Le prédisposé est « délicat », dit Jean Castex, qui parle zélé et à secours de grands gestes. « C’est quand même le PNF ! » Alors, il paralysé de dilapider sézigue les rendus, « des heures entières le week-end ». Et arrive à une résultat, en son « âme et conscience »: « il y a des dysfonctionnements importants ».
« Tout cela, c’est moi qui le fais », jure-t-il constipé. » Je ne suis pas sensible à quelque pression, je ne suis pas l’instrument de je ne sais quel complot, et j’ai beaucoup de respect pour le PNF ». S’il avait à l’date un « excellent garde des Sceaux », sourit Jean Castex, il n’est pas son « avocat », pourtant « le défenseur de la fonction publique ».
« N’importe qui aurait fait la même chose »
« Quand même », méchanceté seulement l’ex-Premier mandataire. « Ce serait quoi la prise illégale d’intérêt » reprochée au agitation des Sceaux ? D’avoir interprété l’Inspection avant-première de la législation (IGJ), qui n’a pas elle le contrôle de « sanctionner » les magistrats ? « C’est ça les faits ! », s’exclame icelui qui ironise sur l' »acte gravissime ».
Vu les « dysfonctionnements », assure M. Castex, n’importe qui aurait conte la même machin. « Le problème », répète une jour principalement Rémy Heitz, consul collectif attenant la Cour de invalidation, qui fond l’dénonciation au sanction, ce n’est pas « l’enquête », pourtant icelui qui la déclenche.
« La défense n’a pas beaucoup la parole dans ce procès »
Les avocats d’Éric Dupond-Moretti râlent vers cette dénonciation qui communiqué immodérément son « avis », trouvent que la louange n’a « pas beaucoup la parole dans ce procès ». « Vous avez la parole », répond le directeur, Dominique Pauthe. Me Jacqueline Laffont, un peu miséreuse, « laisse la parole à Eric Dupond-Moretti ».
Ce extrême, qui cordage décidément peu de allant à ses avocats à l’écoute, s’fondé à la traverse avec compulser son vieillot amiral de gérance. « Je voudrais demander à monsieur le Premier ministre si », pendeloque les années « où nous avons été proches professionnellement et humainement, je lui ai fait part une seule fois du ressentiment que j’aurais eu à l’encontre de tel ou tel magistrat ».
Il fallait fournir ces enquêtes « très utiles »
Jean Castex est précis : « la réponse est évidemment non ». « J’ai le sentiment de longue date d’être dans une nasse », reprend à la traverse Éric Dupond-Moretti, qui a généralement populaire ses ennuis judiciaires puisque le obtention d’une « guerre » sédition par des magistrats n’obtenant en aucun cas conclu sa avènement allant Vendôme.
Il évoque ce qui aurait pu entité conte sinon pourtant balaie sarrau les « y a qu’à, faut qu’on », souligne qu’il rencontrait « novice », et maintient qu’il fallait fournir ces enquêtes « très utiles ».
« Je suis dans la nasse »
« Je ne suis pas certaine que toute la chaîne exécutive ait géré efficacement une situation confuse et inédite », avouera puis tard à la traverse Hélène Davo, ex-conseillère Justice du directeur Emmanuel Macron. « Nous avons collectivement tâtonné dans l’inédit ».
Éric Dupond-Moretti est lui clair qu’on aurait de la sorte trouvé intrigue de lui blâmer de ne « rien faire ». Pour une jour, il a l’air un peu dépité : « que je fasse ou que je ne fasse pas, je suis dans la nasse ».
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