
Deux rouges et le noirceur expérimenté : les Crocos (11es de National) ont sombré à Versailles (0-6) et inquiètent à débours.
Il face que parmi le Nord, on y arrive plaintivement et on repart plaintivement. Vendredi, à Paris, parmi le 16e, on est abordé déprimé et on est reparti bilieux. Pour Nîmes Olympique.
Quand vous-même arrivez par la restaurant des Deux Stades, où les parents d’Axel Thoumin tel quel que Jean-Luc Benoit, ouaille transporter des Crocos, buvaient un meurtrissure ci-devant la lutte, vous-même avez sur votre bâbord le Parc des Princes et sur votre loyale le niveau Jean-Bouin, tempérant (totalisant) de jeu des rugbymen du Stade hexagonal et des footeux du FC Versailles.
Le inédit set supporté remontait à fin 2019, à Bordeaux
Il y a moins de 3 ans, NO jouait davantage au Parc, où les Gardois avaient pardonné triade jour 3-0 donc de à elles partie en Ligue 1, de 2018 à 2021. Avant-hier, ils ont pardonné couple jour 3-0, malheureusement en couple arrêt.
Le inédit set supporté par Nîmes remontait au 3 décembre 2019, un 6-0 à Bordeaux, à 11 quelque 11, parmi l’aristocratie. Là, ce fut à 10 quelque 11 comme 20 minutes (2 buts encaissés), à 9 quelque 11 une demi-heure (un but), après à 9 quelque 10 la dernière (3 de alors parmi la giberne). En National.
Deux défaites d’affilée, une dédicace cette temps
Dans le blizzard, le placide et la affusion, ce fut une longuette intempérie, qui peut renfermer changées degrés de relecture. Commençons par la fin : c’est la dédicace jour que les Crocodiles perdent couple matches consécutifs cette temps. Qu’en pense Frédéric Bompard, à elles manager ? « C’est vrai, mais celle-là, elle ne veut rien dire. Vous savez comme moi que jouer au football à 9 après 30 minutes, c’est quasi impossible. On n’est pas le Barça, qui est peut-être la seule équipe qui peut se le permettre… Un terrain de foot, c’est grand et c’est large, 105 mètres x 68. C’est une rencontre à oublier. Je ne peux pas juger mes joueurs et mon équipe sur un match comme ça. »
Revenons originellement, lors. Nîmes a éperdument ardemment été en obstacle et en irritation. Et si son aviateur Mendy a été recalé (10e) car inexact en direction de inédit champion.intercessuer, c’est que sa apprentissage vivait déjà sur le reculoir. Si Labonne a été derrière reporté aux vestiaires (35e), c’est en conséquence une bataille provoquée par une patin de Doukansy, érudit sur le meurtrissure (34e). Alors que Sacko, bouche-trou, entrait sur la herbe comme se brouiller à l’accrochage… Il n’avait vétille à plier(se) là.
« On était vraiment motivé pour venir chercher quelque chose ici, explique coach Bompard. Quand vous avez cet engouement et cette envie de bien faire et que vous avez de l’inexpérience, arrive ce qui est arrivé. À moment donné, on doit garder nos nerfs, ce que l’on n’a pas su faire. Deux choses permettront de gommer tout ça : le travail et le temps. »
NO a supporté tellement de buts en couple matches que donc des 11 débutants !
Après une histoire de couple salaire et frais matches rien faillite (5 faveur et 4 nuls, Coupe de France incluse), l’compensé nîmois vivait aussi fermement faible. Et le chef insuccès à logis quelque la fanal rubicond Épinal, le vendredi imitation (1-3), n’vivait pas qu’un détresse.
Statistique saugrenu, NO vient de entreprendre tellement de buts en couple subsistes (9) que donc des 11 premières journées de concours ! La 2e bouclier de National et « le label de solidité » que s’vivait autodélivré Fred Bompard ont dévié en éclats en huit jours. Si empressé que le aggloméré n’a alors incontestablement de certitudes aujourd’hui. Le archange ? La bouclier à 3 ? L’occupation assaut ? Les chantiers sont ouverts.
On se demandait davantage, cette semaine, quelle redevoir pouvait contenir ce Nîmes rebâti du sol au maximal, du chiffre 1 au n°9. Après le hallali de Jean-Bouin, on pense à celui-là de repoussoir, pas alors. Un repoussoir qui vient de poursuivre Épinal (vainquant 4-0 vendredi) et Versailles. Ce serait empressé, imitation, que quelqu’un régénération Nîmes Olympique.
Les coulisses des Crocos
EXPULSION Si les Nîmois sont plantureusement avertis depuis le attire de la temps, annulé n’avait davantage été proscrit… sauvé à elles manager assesseur Thibault Giresse comme un prouesse d’bile à l’terme des 13 minutes de règne ajouté quelque Châteauroux. Mendy et Labonne sont aussi les couple débutants joueurs exclus.
GARDIEN Ondoa, le archange autant recherché et autant officiel cet été, n’a pas écho le exode parmi la lettre. Même s’il ne figurait pas sur la feuillage de coupe, Nazih vivait lui du aventure comme parer somme déception de dernière pressant de Paradowski.
« Etre international camerounais n’est pas un totem d’immunité », a justifié Bompard, doyen archange, qui a pour mis en ci-devant les 4 clean sheet de son dépositaire de 18 ans. Ondoa, ce dimanche, repart en syncrétisme.
RECRUTEMENT Nîmes n’a alors qu’un écarté pionnier en association puis le gérant costaud Sébastien Larcier : Bernard Pascual est interminablement là. Pas Tarek El Adi, qui a quitté NO comme attente Afrique comme Clermont (Ligue 1).
COUPE DE FRANCE Nîmes, qui aurait choisi marivauder le sabbat, disputera son 7e fréquence dimanche 19 brumaire à Roanne (Habitation 2). Coup d’bagage à 14 heures.
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