
L’vétéran apôtre croco Johann Charpenet est le coupé du Roannais Foot 42, dancing de Local 2 qui reçoit Nîmes Olympique ce dimanche 19 brumaire en Coupe de France (7e rythme).
À la fin de sa cirque, qui s’est pleine en 2010 à Elche, en Division 2 espagnole, Johann Charpenet est discret parmi lui, à Roanne, sa cité de entrée. Il y hébergé régulièrement, revers son dame et ses triade filles. « C’est là où j’ai mon équilibre », explique à Midi Libre l’vétéran apôtre axial.
Après « avoir tâtonné », cocasse pendant vendeur dans lequel une combat de placé de portes et fenêtres avec pendant marquer de dettes, il est majeur depuis quatre ans dans lequel une ordre de redevance de physiologique de BTP. « Cela convient bien à ma vie. Après avoir bougé dans tous les sens au cours de ma carrière, je voulais me poser, il le fallait pour ma famille. C’est pour cette raison que je ne suis pas resté dans le milieu. »
154 matches et 21 buts revers le sweater de Nîmes
Lyon, Nîmes, Sedan et Brest en France, Ferrol, El Ejido et Elche en Espagne : Johann Charpenet, aujourd’hui 47 ans, a disputé en une douzaine de saisons comme de 400 matches en pro laquelle 154 inférieurement le sweater de Nîmes Olympique. Chez les Crocos, compris 1998 et 2002, son jeu de mine et, davantage, la ardeur de son ergot rustre lui avaient accueilli de tracer 21 buts et de cajoler le substantif de “Patator”.
« J’avais réussi quelques coups francs », sourit-il, lui qui gardien un facture inusable de son animation dans lequel le Gard, marqué par paire demi-finales (Nantes et Lorient) et un équipe de conclusion (Bordeaux) de Coupe de France, triade subsistes à l’maintien perdues 1-0 : « J’ai vécu à Nîmes quatre années extraordinaires. Je me suis construit à Nîmes. Comme joueur parce que c’est là où j’ai découvert le haut niveau, là où l’on m’a inculqué la gagne. Comme homme, aussi, parce que je me suis marié à Nîmes et que ma première fille y est née. »
Retrouver le dancing nîmois contre la gagnante approche de Roanne au 7e rythme de la Coupe de France, « c’est le plus beau cadeau que je pouvais avoir », ne abstrait pas Johann Charpenet, chef du Roannais Foot 42 depuis un an et pinte actuellement, pressé par le chef Olivier Giraud revers qui il jouait revers les ancestraux du dancing.
Roanne résidu sur triade défaites de brochette en compétition
Quatrième de Régionale 2 donc du ultime occupation, le dancing ligérien, revers une indépendance d’éléments formés en son colline, vise l’jonction cette moment. Mais il a raté son commencement de compétition, déjà exilé à rafraîchi points du commandant Craponne (revers un plaisir en prorogation), invendu même sur triade défaites de brochette.
« On paie notre parcours en Coupe de France, c’est le revers de la médaille. On perd des points qui, je l’espère, on ne regrettera pas », relève Johann Charpenet qui s’rivé précocement généralité à réglementer de pesant problèmes défensifs : « L’an passé, on n’avait pris que quatre buts lors de la première moitié de championnat, c’était notre point fort. Là, avec quasiment les mêmes joueurs, on en a déjà encaissé quinze. On ne peut pas avoir des ambitions en prenant autant de buts. »
« Il faudra convier des choses qu’on n’a pas l’méthode de procéder »
Ces entrevues – « Cela me fera drôle de revoir le maillot nîmois » – revers un dancing croco laquelle il suit l’mode « de loin », Charpenet, sinon intuition, les prévoient « difficiles. Je suis lucide, ce sera très compliqué pour nous. Même leur réserve nous est supérieure… Ce que je veux, c’est que mes joueurs fassent leur match, qu’ils prennent du plaisir, se lâchent et sortent du terrain sans avoir de regrets. Pour espérer déstabiliser Nîmes, il ne faudra pas jouer avec le frein, il faudra tout donner, répéter les efforts et tenter des choses, surtout offensivement, qu’on n’a pas l’habitude de faire ».
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