Pour le alcade de Mèze, « il n’y a plus de contrôle contre la cabanisation »

Thierry Baëza, le alcade de Mèze, réagit aux contrôles en échange de la cabanisation effectués en commencement de semaine sur sa diocèse.

Comme annoncé alors du jeune palabre communal de Mèze, au partie honnêtement des astreintes financières imposées aux public ne respectant pas le encyclopédie de l’architecture, les épreuves de l’Etat ont aguerri un couple de ordinaires de contrôles ce lundi et mercredi 13 brumaire sur la diocèse. Au entier, 51 parcelles ont été contrôlées et 32 constats ont été dressés.

Une passionnément longue zoïde à explorer

Pour le alcade de Mèze, Thierry Baëza, cette cabanisation est due au récit qu’il n’y a « plus de contrôles. À l’époque de la Communauté de communes du nord bassin de Thau, nous avions six gardes champêtres qui patrouillaient et intervenaient dès qu’il y avait une construction litigieuse. Depuis la fusion avec l’agglo de Sète, il y a le même effectif mais pour un territoire deux fois et demie plus grand. »

On ne récit pas ça de gaîté de cœur

Le leader avocat de la agglomération du Boeuf concède toute itou que « l’on ne fait pas ces contrôles de gaîté de cœur. Avec la précarité beaucoup de personnes s’installent sur des terrains de loisir, dans des lieux un peu tranquilles. Mais au fil du temps, le volume augmente. Des personnes et des constructions. On le voit d’ailleurs sur les images aériennes prises à intervalles réguliers par l’Etat. Mais on ne peut pas le permettre dans nos secteurs agricoles et naturels ».

La chicane est commercialisée

Désormais les procédures sont lancées. Les contrevenants tiennent d’un sursis de un couple de mensualité dans se arriérer aux standards. Dans le cas opposant, en même heure qu’une établissement en législation, la Ville de Mèze pourra, en conséquence négociations infructueuses, oser son agencement d’contrainte trésorière. 

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