Dans un anastomose au Monde, Pierre-Louis Bras, l’chevronné administrateur du Conseil d’position des retraites, arrivé fin octobre dans renfermer dénigré la procès-verbal du administration, a soutenu ses cruciaux, calviniste que l’pouvoir avait « dramatisé » la particularité.
Il n’en démord pas : beaucoup dénonciation durant le assemblée sur la procès-verbal des retraites, Pierre-Louis Bras, l’chevronné administrateur du COR, s’est formulé dans la commencement coup depuis son licenciement fin octobre, martelant que les dépenses de à nous sagesse par ordre « ne dérapaient pas » ci-devant la procès-verbal.
Dans un anastomose au Monde, l’chevronné supérieur du Conseil d’position des retraites a estimé que « la dramatisation » du administration sur le section « n’avait pas lieu d’être ». « En procédant de la sorte, je ne m’inscrivais pas dans le narratif dramatisant que voulait promouvoir le gouvernement pour justifier la réforme : la France vieillit, les dépenses de retraites explosent, ce qui nous conduira à la faillite ; donc il faut repousser l’âge légal de départ ». Cette « dramatisation » a tranchée, suivant lui, à « l’affrontement » chez le assemblée diplomatie et a occulté la phantasme des « données macroéconomiques sur le système ».
A convoiter donc : Procès-verbal des retraites : le entassement emploi-retraite, une moralité dans renfler les petites pensions ?
Pierre-Louis Bras a comme formulé ses craintes sur la procès-verbal en miss, doutant du complexion « juste » du brouillon. Si, dans les retraités les mieux modestes, il évoque « un bilan favorable à terme », l’technocrate de 64 ans rappelle que le déviation de l’âge de initiation en chômant « pénalise davantage ceux qui ont connu des métiers pénibles, peu valorisants, peu rémunérés, exigeants. »
La procès-verbal n’améliore pas « la soutenabilité financière du système »
Rebours du éloge ministériel, l’ex-haut bailli a comme renouvelé que la procès-verbal « n’améliore pas la soutenabilité financière du système de retraite à long terme ». Selon lui, lui-même va certes invoquer des économies chez dix ans, néanmoins fera étendre la lourd des retraites, d’ici 30 ans, surtout dans de l’accroissement des pensions due à l’enrichissement des carrières.
Enfin, interrogé sur son licenciement, Pierre-Louis Bras a estimé qu’il vivait « normal que le gouvernement change le titulaire de ce poste quand il le souhaite ». Mais il a comme scandé le catastrophe qu' »on ne peut pas écarter l’idée que ce changement soit lié » à des « tensions ».
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