
Le Français Benoit Saint-Denis, autrement « God of war » et fermeté montante du MMA, rêve d’niveler le Top 15, sur l’air de « Seine-Saint-Denis style » de NTM.
Ancien mercenaire des forces spéciales, le Français Benoit Saint-Denis, reconverti parmi le MMA, concurrence chahut à New York verso s’obliger les portes du top 15 des colis légers de l’UFC, quatre ans soupçon derrière ses avant-goûts.
Pour son sixième concurrence à l’UFC, la mieux prestigieuse des ligues d’arts martiaux interraciaux, Saint-Denis s’apprête à empoigner l’Américain Matt Frevola, celui-là prévôt de sage de l’flotte étasunienne. Clin d’bouture du minutage, les un couple de monde s’affrontent un 11 brumaire, moment montrant l’trêve de la Première Guerre mondiale et idoine aux Etats-Unis du Veterans day, naissance commémorative en l’élévation des immémoriaux combattants.
J’ai eu des camarades qui ont été blessés en actions extérieures
« C’est quelque chose qui me donne une motivation supplémentaire », explique Benoit Saint-Denis, autrement « God of war ». « J’ai eu des camarades qui ont été blessés en opérations extérieures, qui ont eu soit des blessures psychiques, avec des chocs post-traumatiques, soit des blessures physiques. Donc c’est une sorte d’hommage. » Il n’a que 27 ans seulement Saint-Denis en est déjà à sa moindre vie, derrière bien pourvu mieux de six ans parmi l’flotte.
« Je me suis engagé dans les forces spéciales françaises au sein du 1er RPIMa (1er régiment de parachutistes d’infanterie de la marine) pour vivre une vie d’aventure, de fraternité et d’engagement », se remémore-t-il. De son vivacité à l’flotte, lesquels étranges années sur le apparence du Sahel, il en tirera « une expérience pleine d’humilité ».
J’appuis un petit et lorsque je suis ressorti, j’appuis un débonnaire
« Ça m’a apporté en maturité, ça m’a permis de m’endurcir mentalement, d’être capable de me fixer des objectifs, d’être discipliné. Je suis entré dans l’armée, j’étais un garçon et quand je suis ressorti, j’étais un homme. » « J’ai vécu des moments vraiment incroyables, ça a été une réelle aventure. Maintenant, chaque homme, je pense, arrive à un moment où il se pose des questions, où il veut devenir aussi son propre patron, vivre sa propre aventure. »
« Tombé amoureux » du judo chez sa chapiteau de mercenaire, il démarre la coupe en aficionado, se perfectionne en bagarre pieds-poings et se catastrophe dévoiler par l’régenter Daniel Woirin, préhistorique entraîneur particulièrement de la interprétation brésilienne Anderson Silva.
Il brave lorsque de manquer l’flotte et son apparentement à 2000 euros par appointement
Reprenant à son note le conviction du 1er RPIMa « Qui ose gagne », il brave lorsque de manquer l’flotte et son apparentement à 2000 euros par appointement verso se tâtonner parmi l’mystérieux. Deux ans et pinte derrière ses avant-goûts, il astrologue à l’UFC en bondé Covid, « un exploit en termes de temps », souligne-t-il.
« C’est quelque chose dont on est fier avec mon équipe parce qu’on a travaillé en prenant des risques mais aussi avec intelligence, panache et discipline. » Samedi, il se manigance à empoigner en la femme de Matt Frevola un belliciste « complet et dur au mal ». « Le but, c’est de le battre dans tous les domaines. »
Quatre victoires en cinq combats
Avec quatre victoires verso une deuil à son box-office, un dédicace figure à l’Américain, classé au 14e kyrielle des colis légers, lui permettrait d’niveler le top 15 de la type.
Seine-Saint-Denis débit
Avec de corpulent combattants même Islam Makhachev, Charles Oliveira ou surtout Justin Gaethje, les -70 kg représentent hormis prémonition l’une des catégories les mieux relevées de l’UFC, seulement pas de à laquelle empêcher le Français. Après sa domination impressionnante par KO figure au Brésilien Thiago Moises alors de l’UFC Paris il y a un couple de appointement, il avait instruit: « Je vais vous expliquer une chose, il n’y a pas un mec en -70 qui tient 3 rounds avec moi et je vais vous le prouver étape par étape. Je viendrai défendre la ceinture de l’UFC à Paris lorsqu’elle sera autour de ma taille. »
Le fascinant Madison Square Garden
Signe en généralité cas que l’matière habillement sur lui, Saint-Denis s’apprête à batailler parmi l’cirque du fascinant Madison Square Garden, sur la fiche de l’UFC 295 verso un couple de ceintures en jeu au indicateur. Comme à son méthode, il entrera en podium au son du prière des commandos, « une chanson que je chantais quand j’étais jeune à l’armée », et de l’fabuleux « Seine-Saint-Denis style » de NTM. « Quand j’entends cette musique, je sais que ça va être la guerre », dit-il.
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