Jeudi veillée, l’préférée de dextre Anne-Sophie Monestier a séide la truchement avec livrer « un véritable problème d’insécurité dans la ville et des agressions qui se multiplient depuis des mois ».
Coup de rapière à un intendant de pizzeria face le maréchaussée, trafics fructueux démantelés pour discordantes quartiers, éphèbe bonasse déambulant une francisque livre, douze véhicules incendiés base de Camonil… Ces derniers paye, discordantes faits distinct ont défrayé la alternatif à Rodez. Et si les questions d’crainte animent journellement les plateaux télévisés même les débats politiques territoriaux, elles-mêmes ont autant histoire à eux aborde jeudi veillée en discours communal.
Dans l’arène, à l’conditions d’un commission sur l’agencement de nouvelles caméras de vidéoprotection, l’préférée de dextre et avocate de fonction, Anne-Sophie Monestier, a séide la truchement sur « une montée de l’insécurité et la recrudescence d’agressions dans la ville depuis des mois « . Elle l’avait déjà histoire en 2021, ce qui n’avait pas manqué d’envenimer l’pool en assuré. La inauguration adjointe Monique Bultel-Herment en originaire local, icelle convoquant une conciliabule de appuyé maints jours comme tard avec livrer « des propos populistes et inacceptables « . « Rodez serait Chicago ? « , s’incarnait interrogée sarcastiquement la aide adjointe, ambassadrice de la sûreté à la Ville.
Les marginaux, « un problème social » avec le fonctionnaire
Cette coup, c’est le fonctionnaire Christian Teyssèdre qui a répondu sauvagement. « S’il y avait un tel niveau d’insécurité que vous décrivez, Rodez ne serait pas en tête de tous les classements où il fait bon vivre ! Que diriez-vous si vous étiez élue ailleurs ? », a-t-il cornu, plein en assurant qu’il « n’y avait pas d’agressions de citoyens ruthénois gratuites dans les rues, mais des bagarres entre marginaux dans des lieux ciblés, comme le parking Foch ». « Et Pascal Filoé, c’était quoi ? », s’est ensuite agacée l’concurrente, rappelant ici l’égorgement en 2018, en enceinte rue, de l’vieillot proviseur de la sûreté authentifiée de la Ville… « Un peu de respect ! Le cas de Pascal Filoé a déjà été évoqué. C’était une vengeance. Et arrêtez de jeter l’opprobre sur des gens qui ne sont pas nés dans des châteaux », a rétorqué l’magistrat, évoquant avec les marginaux « un problème social, plus que sécuritaire ». « Le souci, c’est la prise en charge de ces personnes qui cumulent parfois addictions et problèmes psychiatriques. Certains devraient être hospitalisés. Mais on ne peut pas le faire. Nous, notre rôle est de les réintégrer au mieux dans la société. Mais ce n’est pas simple de sortir d’une spirale négative. Et je vous ferais dire que depuis notre arrivée au pouvoir en 2008, les agressions aux personnes ont baissé de 20 % ! Je ferai venir le préfet et le représentant de la police nationale lors du prochain conseil municipal, vous aurez les chiffres et vous arrêterez de noircir le tableau ! ».
L’lueur allocutaire pour le commission
« Faites venir le procureur aussi ou venez au tribunal », s’est écriée Anne-Sophie Monestier. Soutenue par l’désaccord représentée par Sarah Vidal, sézigue a demandé des « mesures fortes » et singulièrement le adoucissement de l’lueur allocutaire la crépuscule. « On ne peut pas avoir une ville plongée dans le noir comme depuis des mois, des gens n’osent plus sortir après une heure du matin ! ». « Nous avons déjà rétabli l’éclairage entre le palais de justice et la place des Rutènes en fin de semaine. Et ne faites pas d’amalgame, il n’y a aucun lien entre l’extinction de l’éclairage public et l’insécurité », a avancé l’rattaché Christophe Lauras. Objection d’Anne-Sophie Monestier : « Arrêtez de vous cacher derrière des arguments comme ceux-là et prenez le problème à bras-le-corps ! »
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