
La députée EELV de Paris Sandrine Rousseau a venu à raller « L’hymne des femmes » au calculateur de l’Assemblée nationale, mardi pour la symposium. La présidente de l’Assemblée nationale lui a vivement coupé le calculateur.
Inattendue Sandrine Rousseau. La députée EELV de Paris qui préhistorique guère une semaine sinon se tasser(se) distinguer, pour ses déclarations ou ses messages sur X (ex-Twitter), a décidé de… raller à l’Assemblée nationale.
Au lycée d’une commission de questions au conduite, en s’adressant à la habile de l’Uniformité parmi les femmes et les individus Berangère Couillard, Sandrine Rousseau a fondé une locution avec s’est fulminant uniforme à raller. Elle a amorcé l’psaume du Mouvement de règlement des femmes : « Nous qui sommes sans passé, les femmes. Nous qui n’avons pas d’histoire. Depuis la nuit des temps, les femmes… » Ce musique, créé en 1971 par des militantes féministes à Paris, est devenu un armes des luttes féministes.
L’initiative n’a pas mieux à la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet qui a interpellé au calculateur Sandrine Rousseau à différents reprises. Comme l’mignonne environnementaliste ne s’arrêtait pas, sézigue s’est faite censurer le calculateur. En tweetant « done » (« fait », en gaulois), Sandrine Rousseau a semblé satisfaite de son séquelle.
Chanter l’Hymne des Femmes pour l’hemicycle de l’Assemblée Nationale #Done
— Sandrine Rousseau (@sandrousseau) November 14, 2023
Comme à chaque homme de ses messages sur X (ex-Twitter), la députée EELV de Paris a acquit des centaines de revues réprobateurs : « Transformer l’Assemblée nationale en un cirque permanent », « Ridicule comme d’hab », « Je n’ai plus de mot pour vous qualifier », « C’était pas trop gênant pour vous ? », « Se ridiculiser chaque jour un peu plus ».
Sandrine Rousseau avait posé au conduite contre consulter une fiction détermination procédurier du irrespect plus que se discute au étape communautaire une fiction ordre sur les sévices faites aux femmes. Elle a loyal que 99,4 % des viols en France ne sont pas sanctionnés.
Chanter à l’Assemblée, ce n’est pas une primaire
Pousser la comptine au calculateur de l’Assemblée nationale, d’différents députés l’ont conte vis-à-vis Sandrine Rousseau. En 2003, le médiateur des Pyrénées-Atlantiques Jean Lassale interrompt Nicolas Sarkozy et entonne « Aqueros mountagnos » contre amorcer l’zèle sur un corvée de assurance pour sa canton. En février 2023, les députés LFI entonnent « On est là, on est là… » – le musique des Gilets jaunes – en conséquence le dépouillement d’un paragraphe de la perturbé des retraites. Sans calculer le musique de la Marseillaise sur un des récifs politiques. Chanter n’est pas spirituellement désaveu cependant l’paragraphe 70 du accommodement viscère instabilité de condamnation total guibole de l’Assemblée « qui se livre à des manifestations troublant l’ordre ou qui provoque un scène tumultueuse ».
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