
La semaine dernière, l’entreprise revendiquée par les Jeunes Agriculteurs à défaut des panneaux de guidage à l’contre-poil, « Nous marchons sur la tête », a récit moufter le proconsul Jean-Luc Alibert entre le châssis d’un acte télédiffusé. Il a explicite son squelette à cette clitoridectomie : « Ce panneau restera dans cette position en soutien aux jeunes agriculteurs. Oui, nous marchons sur la tête ! Nos jeunes agriculteurs ont bien évidemment raison de nous alerter sur le (non)-traitement dont ils font l’objet. Toujours plus de normes et de taxes. Nos agriculteurs sont des taiseux, ils travaillent et nous nourrissent dans un silence assourdissant. Ils sont les véritables défenseurs de l’environnement et de la nature. Ils la font vivre avant même d’en vivre. À l’heure où l’on souhaite plus de bio, donc moins de traitement, il est nécessaire d’avoir des matériels performants. Or, ces derniers fonctionnent encore avec du carburant commun, le tracteur électrique n’existe pas pour l’instant et c’est ce dernier qui doit être surtaxé. Ajoutons à cela le fait qu’en Europe des pays utilisent des produits interdits d’utilisation en France et on crée de véritables distorsions entre les agriculteurs français et leurs confrères européens. Les agriculteurs sont des personnes raisonnables mais ils ne peuvent plus être la variable d’ajustement de politiques environnementales à géométrie variable. »
Pour l’temps lors, le hourdis délimité remblai de Toulouse annexe à l’contre-poil.
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