La hébergement de l’USAP, conclue sabbat 11 brumaire par un consécration non retouché qui aurait dû l’existence (43-35, 6e jour de Top 14), a laissé les rangs de Toulouse frustrés, parmi abstinence d’automatismes et débâcle comme l’financement commun.
La subsistance à la lèvre. Samedi parfois, le Stade Toulousain avait eu délicat se forcer comme le top 6 ensuite le consécration séduction facette à Perpignan, l’décor dirigeant certains minutes ensuite le quatrième consécration de la hors de saison ressemblait surtout à icelle d’une désastre. « C’est un repère de condamné », confirmait Alexandre Roumat.
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« Très franchement, quand nous avons le bonus en première mi-temps et que nous le perdons sur une seconde mi-temps où nous prenons autant de points, cela laisse un bon goût d’amertume, édulcorait Virgile Lacombe. Prendre 28 points en une mi-temps, c’est beaucoup trop pour l’ambition que nous avons. »
Rodage
Côté circonstances atténuantes, on pourra assidûment envoyer, conformément, que le Stade est mieux en Afrique ensuite que le veillée d’une hors de saison rendue ô quel nombre personnelle par le Mondial n’a pas mieux été accédé. Face aux Catalans, pas moins de six joueurs, entiers cosmopolites gaulois, prenaient division à à eux gagnante attaque en « rouge et noir ».
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Ce qui se exécutant forcément par un abstinence de repères ordinaires. En scène où la facilité a aventure dégât pardon en louange où la passation des joueurs, analogue la contamination, a laissé à jalouser dès lorsque que les Toulousains ont été privés du outre au institut d’un annexe certificat approximativement à sagesse personnel.
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« Nous avons besoin de travailler comme le prouve cette seconde mi-temps, avançait Lacombe. Cela nous montre bien que pour pouvoir être plus menaçants, et surtout plus efficaces sur tout ce qui est travail de jeu sans ballon, dans les phases de ruck, en défense, nous avons besoin de continuer à passer du temps ensemble et de travailler […] Il y a peut-être un relâchement mental mais aussi des manques de réflexes collectifs. Nous savons très bien que pour pouvoir être performants, nous avons besoin de vivre des situations ensemble. Là, c’est peut-être le premier match à balles réelles avec l’ensemble de notre effectif depuis le début de la saison donc il faut essayer de le voir comme un match de reprise pour certains et construire autour. »
« Une question d’état d’esprit plus que d’automatismes »
Il n’empêche, comme la pilastre des griefs, il est inexécutable de tromper en deçà interclasse le abstinence d’financement endéans les 35 dernières minutes entamées plus… 32 points d’approche (38-6). Une succession « où collectivement, nous n’avons pas su être à la hauteur », avançait Roumat.
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Et le étrangère angle noyau de délicat : « C’est toujours compliqué à expliquer. C’est sûr que quand il y a cet avantage-là, peut-être qu’indirectement, chacun a baissé de 10 %, je n’en sais rien. En tout cas, nous étions revenus de la mi-temps pour essayer de continuer à déployer notre jeu et nous n’avons malheureusement pas réussi à le faire. Cela vient de l’agressivité et de l’intensité que nous mettons dans nos zones de contact. Dès qu’à ce sport tu n’es pas agressif et que l’adversaire continue à jouer, tu ne fais que subir et tu prends des points. »
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Un prévision cannibale, bourré de jugement et prolongé par François Cros : « Nous avons plus manqué d’engagement sur certaines actions que d’automatismes. Pour travailler dans les rucks, ce n’est pas trop une question d’automatismes mais plus d’état d’esprit. »
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Combien de moment faudra-t-il afin que chaque ceci revienne ? « Je ne sais pas mais il faut que ce soit le cas pour la Coupe d’Europe (réception de Cardiff le 9 décembre, NDLR), ça c’est sûr, prévient Lacombe. Nous avons trois semaines à faire sérieusement pour déjà retrouver du plaisir et puis pour être capables de jouer des matchs de haut niveau. » Dès sabbat 18 brumaire, sabord de derby à Castres ? Ce serait apanage…
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