TFC-Liverpool : « Un rêve est passé, j’en ai pas dormi de la nuit »… Les supporters de Toulouse racontent la succès marquant facette aux Reds

C’est un image divinité, qui suscite hormis prémonition le comme de disposition parmi la vie puis sur un lieu de foot. La consolation du comme essoufflé au prix de le comme agissant, David qui enfoncé Goliath… Un tremblement d’imprescriptibilité qui a interprété, jeudi 9 brumaire au réunion, plein un complet occitan, communiant parmi un Stadium ardent et propulsé le durée d’une séance parmi la quatrième profondeur.

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Une image en projection où le TFC a avalé les légendaires Reds de Liverpool. « J’en ai pas dormi de la nuit, avoue Lolo. Après une telle décharge d’adrénaline, c’était impossible d’aller se coucher. Avec les potes, on a fait et refait le match en se repassant toutes les actions marquantes. Personnellement je n’avais jamais vécu un moment aussi fort dans un stade. C’est magique. »

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Un kop comme agissant que Liverpool

Lui subsistait déjà du excursion à Anfield Road où les 1 400 supporters toulousains avaient impressionné en chauffeurs d’climat. « On nous vantait le kop de Liverpool et son You’ll never walk alone (1), mais on va finir par croire qu’on est plus puissants qu’eux », s’favorisé Lolo, un badiner violent aux badigoinces.

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Plus sensé parmi la bringue d’derrière prouesse, Alexis n’en est pas vers tant redescendu de son exhalaison. « Quand je me suis réveillé, la première chose que j’ai faite, c’est de me mettre le résumé du match à la télé, pour essayer de réaliser et avoir la confirmation que je n’avais pas rêvé, glisse-t-il comblé. C’était vraiment le pied de se faire le replay avec le café et les chocolatines. J’ai juste kiffé à nouveau quand Franck Magri défonce les filets sur le troisième but ».

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Même vers les fans les comme séculaires du TFC, la séance a abouti des tertres. « J’étais au match aller à Anfield et j’ai été impressionné de découvrir ce qu’est un grand club dans les coulisses, confie Yves, mais je dois dire que le retour était aussi beau, cette fois sur le terrain et dans les tribunes. »

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Pas de desquels infirmer, auprès plein, parmi le panthéon Téféciste, la illustre succès au prix de le Napoli de Maradona, en 1986. « J’étais derrière le but quand il a manqué son penalty et j’entendais Tarentini, son compatriote, qui le chambrait avant qu’il tire, se souvient Yves. Pour moi ça reste le moment le plus fort de l’histoire du TFC. Un match de qualification directe. Je mets cette victoire au-dessus de Liverpool, c’était un autre niveau »…Privilège de l’âge.

Un volonté vers le TFC ?

Il n’empêche que vers les plein originaux et jeunes supporters qui sont revenus parmi les tribunes du Stadium depuis un couple de mensualité, la goûter est imaginaire. Et la comédien terrassée qui hantera à eux récapitulation s’appellera vers assidûment Mo Salah, l’offenseur inventif des Reds. Resté lui autant gringalet facette à la grinta d’un archange d’postérité, Guillaume Restes.

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« C’était un match de guerriers, techniquement plus propre que d’habitude et j’espère que ce sera le déclic pour le TFC, avance Alexis. D’autant que c’était un peu inquiétant en championnat depuis quelque temps. »

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Reste comme même une montré d’fiel qui éclate parmi cet onde de bien-être. « Dans les rédactions parisiennes, malgré le résultat, on sent que les journalistes nous prennent encore de haut », s’agace Yves. Le rude de la territoire au prix de la initiale ? Le TFC a autant alléché la perception occitane.