Armel Le Cléac’h et Sébastien Josse sur Banque Populaire ont passé dimanche 12 brumaire la garniture d’approche en Martinique ultérieurement 14 jours 10 heures 14 minutes et 50 secondes de sinuosité.
À la gouverne du Maxi Banque Populaire, Armel Le Cléac’h et Sébastien Josse ont passé dimanche déclin la garniture d’approche de la Transat Jacques-Vabre en Martinique en grands vainqueurs, « un soulagement » ultérieurement des années de chagrin en prao. L’Ultim (prao de 32 mètres de vaste) est entré chez la golfe de Fort-de-France chez la crépuscule martiniquaise. Son exaltation de garniture a été indiqué à la monde pesant rassemblée sur le chaland d’classe à une paire de centaines de mètres par différents sévices de modèle.
« C’est une joie énorme, car cela fait longtemps qu’avec Banque Pop on voulait cette grande victoire », a revue à l’approche Le Cléac’h chez un ample convenir, au-dessous les pouvoir des lanternes d’entourloupe tirées contre vanter sa triomphe. Partis du Havre, à 14.000 km de l’approche, Le Cléac’h et son co-skipper sont arrivés à 18h19 moment locale (23h19 en France métropolitaine, GMT+1), ultérieurement 14 jours 10 heures 14 minutes et 50 secondes de sinuosité. « Il fallait aller la chercher, il y a eu un gros match, la pression de François (Gabart)… On était en symbiose avec Armel, toujours dans la bonne humeur et c’est ce qui a fait la différence », a estimé Sébastien Josse, 48 ans.
Un bataille en compagnie de Gabart
Le préliminaire talonnant de Banque Populaire, le SVR Lazartigue du bicyclette François Gabart et Tom Laperche, déjà moindre en 2021, a passé la garniture cinq heures avec tard toutefois, à 23h10 locales (4h29 lundi en France métropolitaine, GMT+1). Pendant ces quinze jours de pilotage, les quelques machines océaniques les avec récentes de la escadre Ultim, enjeux à l’eau une paire de traitement face à la précédente ouvrage de la Transat Jacques-Vabre, ont abondamment été au coude-à-coude.
D’abord enfoncé en traquenard le vaste de la vitrine atlantique, le « Banque Pop » a approprié la face de la escadre au exaltation à Madère, à la obole de occurrence météo idéales et d’un consentement militaire résolu: il a été le isolé birème à cerner l’île par le septentrion. Rattrapés chez l’Atlantique Sud par François Gabart, après dépassés succinctement à mesure de l’île de l’Ascension, Le Cléac’h et Josse ont su posséder des meilleures performances de à eux birème au montant – comme le brise vient de l’décor du bateau.
Filant sur l’eau à avec de 30 nœuds (55 km/h) de norme oscillant différents jours au béant du Brésil, le Maxi Banque Populaire XI a idéal une fin de sinuosité pure contre rassasier après forer son coude en compagnie de SVR. « Le film s’est super bien déroulé. Sébastien et Armel ont été hyper solides, très décontractés tout au long de la course et concentrés sur leur sujet », a commenté Ronan Lucas, leader de l’gréé Banque Populaire, malgré de l’AFP.
Le Cléac’h a fréquemment joué de guignon
Grâce à ce croisière de 14 jours gouverné batterie rabattant depuis la Normandie, Le Cléac’h a remporté sa originelle triomphe sur la Transat Jacques-Vabre en huit participations et son préliminaire couronnement capital sur un prao. Vainqueur en monocoque du Vendée Globe en 2017, ce Breton innovant de quelques descendants est l’une des figures de la sinuosité au béant depuis le immersion des années 2000 et son préliminaire couronnement sur la Solitaire du Figaro (2003). Mais devenu capitaine responsable des multicoques de Banque Populaire en 2013, il a abondamment joué de guignon sur les trimarans. « C’est un athlète de très haut niveau et un grand champion. Mais en multicoque, il n’avait jamais eu la chance de pouvoir montrer à tout le monde ce qu’il savait faire », a dit Ronan Lucas.
En 2014, dépouille d’une fracture à une droite, il est remplacé à la dernière moment par Loïc Peyron, qui remporte la Route du Rhum. En 2018, infiniment sur le Rhum, il a troublé ultérieurement quelques jours de sinuosité et frôlé la agonie. Et l’période dernière « il y a eu encore une Route du Rhum compliquée ». « On a cassé une dérive et fait demi-tour. Cette victoire est un soulagement », a glissé Le Cléac’h ultérieurement son euphorie à Fort-de-France.
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