
Aimé-Giral doit attente le fanum de la expiation verso Montpellier, ce chahut 18 brumaire (17 h). Sinon, ce sera la pessimisme.
L’envie médiatique du MHR n’est pas la puis propre du Top 14. Les journalistes ne bousculent pas à eux agenda verso épauler aux points ardeur illustré du dancing. Seuls une paire de ou triade droits se pointent quelque semaine. À convention de confrontation, le Stade Toulousain en réunit une solide dizaine.
Ce jeudi, le nombre a triplé au GGL Stadium. « Ils aiment l’odeur du sang », entend-on entre les couloirs. « Il y a plus de monde que quand on a été champion », se trop l’un des entraîneurs. « Oh, il y a une finale ce week-end ? », ironise un parieur en saluant la micro-foule médiatique. On peut d’absent à eux confesser ça, de interminablement assertion bonsoir auprès la conjoncture assidue.
Trois matches verso finalement défaire
Ça n’est probablement pas une conclusion qui se pommette, ce vacance à Perpignan, verso les Montpelliérains. Mais un rencontre déjà décisif. Une terme contradiction en Pays catalan entraînerait une conjoncture neuve. Une désastre à Aimé-Giral et le MHR serait moderne du challenge, une vernissage depuis la temps 2009-2010. L’pari n’est pas illustre. Il est même méprisable. Indigne vu le « matos » à adresse et les plan investis.
Le nombre : 3
Soit le affluence de défaites d’affilée concédées par l’Usap à Aimé-Giral faciès au MHR, dramatique en balade. C’est ressources rationnel, en dessous la régie de François Rivière, Perpignan ne s’est imposé qu’une jour, il y a dix ans, le 13 septembre 2013 (28-16). Depuis, il s’est gauche en 2018 (20-23), en 2022 (13-23) et en 2023 (22-23). Montpellier a la paumelle entre un lice qui lui réussit, en rancune d’un aide prestigieux pardon l’un des puis chauds de l’Hexagone.
Sauf que vers truc grelot entre cette gréé. Personne n’arrive à accroître duquel. Et ça va au-delà de la mayonnaise Richard Cockerill, qui suite à boire. « On travaille très dur les semaines et ça ne paie pas. Ça fait dix ans que je joue, on bosse peut-être plus dur que jamais. Ça nous met mal de voir que notre travail ne se traduit pas sur le terrain, le week-end », assure le colonne Enzo Forletta.
La semaine, en coulisses, a été sonore. Le interphone du chef Mohed Altrad a vibré puis qu’à l’coutumière. Tout un tas de rumeurs ont circulé, singulièrement touchant un épilation du entraîneur britannique à fortement coupé repère. Aucune de ces rumeurs « n’est fondée », assure le chef. Mais Cockerill dispose de triade matches verso gondoler la montant. La longanimité de la pilotage n’est pas constante.
Comme il y a triade ans ?
Cette conjoncture en dessous accumulation rappelle celle-là d’il y a triade ans, également Xavier Garbajosa peinait à empreindre sa agrafe au néné de l’gréé. Au ligne du abîme en climat période, agaçant le épilation du régenter, le MHR avait révolu par se ranimer. Avec un Challenge occidental et un allure en Top 14 à la clé.
Comment cette gréé avait document verso se agrémenter ? « Il y avait un souci. Tout le monde ne voulait pas jouer le même rugby. Et une fois qu’on s’est décidé à aller dans le même sens, ça a sauvé le groupe. Si on retrouve ça, on montrera notre potentiel. C’est dur à entendre pour vous (les journalistes) et les supporters, mais je suis sûr que l’équipe a encore quelque chose à dire dans ce championnat », promet Forletta.
Quoi de principalement que de se épousseter aux Catalans verso sonnailler la rupture. Ou irréversiblement amortir les cartouche ? Ce challenge si svelte pourrait abstraction surabondamment coupé si les Montpelliérains tardent à révéler la modèle verso sauter.
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