Elles sont spécifiques les communes où les électeurs n’ont donné aucune chant au Rassemblement National (RN). Trente-cinq nonobstant sur les 34 935 que facturé la commune. Parmi elles-mêmes, une spéciale se situe en Ariège. Bienvenue à Loubaut.
C’est au issue d’une levée de faîte que se dresse le commune de Loubaut. Située à la terme de la Haute-Garonne qu’on aperçoit de l’hétérogène côté de la renflement, la arrondissement rurale est luxuriant d’une trentaine d’habitants. Et, entre les 28 inscrits sur les états électorales, annulé n’a donné sa chant au Rassemblement National cependant accosté en élevé pendant 93 % des communes métropolitaines.
Devant l’propre meublé communal du commune circonscrit pendant la même immeuble que la hôtel de ville, François est aux premières loges de la vie communale. “Hier, quand le maire est passé, il nous a dit qu’on n’était pas beaucoup en France à ne pas avoir donné une seule voix à Bardella.” Une ambition ? “Pas pour moi, assure le quinquagénaire. Mais pour d’autres, je pense.”
“J’ai ma petite idée de qui c’est…”
Dimanche extrême, Loubaut a placé en élevé des élections européennes la catalogue de La France Insoumise verso 12 votes bien 60 % des suffrages exprimés. Suivent Raphaël Glucksmann (3 votes, 15 %), Léon Deffontaines (2 votes, 10 %), Marie Toussaint (5 %, 1 référendum) et… une chant, continuum item, avec une catalogue d’excessif claire, celle-ci de Florian Philippot. Habitant la arrondissement depuis mitoyen de 20 ans, François confie verso diablerie : “J’ai ma petite idée de qui c’est… Vous savez, ici, tout le monde se connaît.”
Dans un lieu-dit, en contrebas du commune, se dresse la masure du prévôt. Attablé pendant son salle, Ramòn Bordallo raconte : “Il y a plusieurs décennies, le village a été de droite, puis il a basculé à gauche. Mais, il est vrai que pendant longtemps aucune voix n’a été donnée à l’extrême droite. Depuis quelques années, il y en a régulièrement une. Ici, il suffit de parler un peu avec les autres habitants pour se faire rapidement une idée de qui cela peut être…” “Une fois, pour le deuxième tour de la dernière présidentielle, il y a eu 5 votes en faveur de Marine Le Pen, complète sa femme. Là, je me suis vraiment inquiétée. Je me suis dit : ‘Si elle fait ce score-là à Loubaut, ça doit être un raz-de-marée ailleurs. Mais, avec le recul, je l’analyse surtout comme un vote de contestation.”
Pour l’bailli, la originalité du choix loubautois s’explique par l’feuilleton de ce renfoncement d’Ariège, voisin de la Haute-Garonne : “Ici, c’est une région où il y a beaucoup d’entraide. Quand on regarde les résultats des villages alentour, les candidats en tête sont de gauche et le RN est rarement dans les trois premiers. Cela peut également s’expliquer par la forte présence des néoruraux. Dans les années 70, on est beaucoup à être venus s’installer, attirés par les terres agricoles à bas coût.”
En montant avec extraire du commune, seuls divers panneaux électoraux détiennent mieux debout : “On les a mis dans l’herbe pour que la pluie nous aide à décoller les affiches”, moi-même explique François. Sur l’un d’eux, les têtes de Jordan Bardella et Marine Le Pen sont grimées d’une agressive duvet : “Quelqu’un est parvenu à la coller, mais elle n’a pas fait long feu…”, commente, un badiner aux badigoinces, le Loubautois.
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