Alain Delon à Cannes en 2019 : les dernières confessions d’une histoire du écran

Honoré à Cannes au jeunesse 2019 et secret par une Palme d’or d’dignité afin l’assortiment de sa manège, Alain Delon, épuisé dimanche à l’âge de 88 ans, avait donné une masterclass flamboyant en émotions.

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Des soupir et de nombreuses anecdotes. En 2019, lorsque qu’il existait célébré à Cannes, Alain Delon, épuisé dimanche 18 août à 88 ans, avait recommandé une masterclass aux festivaliers. Le virtuose existait lorsque récompense sur son cursus simplement ainsi sur sa vie.

À tourmenter ainsiAlain Delon, l’gouttant “gueule d’ange” du écran hexagonal

  • Le entretien d’Allégret : “Ne joue pas, vis”

En 1957, Alain Delon, qui n’avait aucune apprentissage de virtuose, tourne son rudimentaire projection, “Quand la femme s’en mêle”, d’Yves Allégret.

“Avant la première scène du premier jour, il m’a dit : ‘Je voudrais te voir deux minutes dans la loge, je voudrais te dire quelque chose.’ Et il me dit ceci, qui m’a marqué pour toute ma vie, qui a été d’une importance capitale : ‘Écoute-moi bien : ne joue pas, regarde comme tu regardes, parle comme tu parles, écoute comme tu écoutes, fais tout comme tu le fais, sois toi, ne joue pas, vis'”, raconte-t-il.

“Comme je l’ai dit plus tard, je n’ai jamais joué de ma vie, dans tous les films que j’ai faits. Je vis mes rôles.”

   

  • “Plein soleil” : “Le petit a raison”

En 1960, Alain Delon devient une sauvage pardon à “Plein soleil” de René Clément, son rudimentaire chevalier projection, afin auquel il réussit à exhorter le fabricant de hasarder le devoir sérieux, celui-ci du gangster Tom Ripley, préférablement que celui-ci du gosse de possédant envisagé afin lui. “Ça s’est passé un soir”, dit-il.

“Il y avait les deux producteurs, les frères Hakim, et René Clément. Ça se passait chez lui et il y avait sa femme, Bella, qui était tout pour René Clément, et qui le contrôlait et le surveillait toujours et en qui il avait une énorme confiance. Et puis les producteurs commencent à me parler, et je dis ce que je pense gentiment, ‘Écoutez, ce n’est pas pour moi'”, se souvient-il.

“Le metteur en scène s’énerve un peu (…). Et à ce moment là, un silence se fait. Il y avait Mme René Clément qui était au fond de la cuisine en train d’essuyer sa vaisselle, et qui dit ‘René chéri, le petit a raison’. Ça a été fini.”

  • Des soupir afin Annie Girardot

Après la dispersion d’un sorti de “Rocco et ses frères” (1960) de Luchino Visconti, dans lequel auquel il risque aux côtés d’Annie Girardot, Alain Delon ne peut fermer ses soupir. “Je n’étais pas venu ici pour chialer”, sarisse, ému, l’peintre, lorsque âgé de 83 ans.

“De voir Annie comme je l’ai vue là, ça m’a tué. Elle est magnifique”, ajoute-t-il, vivement applaudi, puis disposer mobilisé sa heurt derrière Luchino Visconti : “Il m’a dit : ‘Vous êtes Rocco. J’ai vu ‘Plein soleil’. Rocco, ce sera vous, sauf si vous le refusez.'”

   

  • “Le Samouraï” et l’sage de Melville

Alain Delon évoque sa heurt derrière Jean-Pierre Melville afin le rudimentaire des triade films qu’ils ont tournés assortiment, “Le Samouraï” (1967).

“Melville commence à me raconter l’histoire. Je suis là, assis, et au bout de 4-5 minutes, Jef Costello (son personnage, NDLR) n’avait pas encore dit un mot. Et je l’arrête et je lui dis : ‘Jean-Pierre, ça fait cinq minutes que vous me racontez l’histoire, et je n’ai pas encore dit un mot.’ Il me dit : ‘Non, pas encore, ça viendra plus tard.’ Je lui dis : ‘Alors c’est pas la peine d’aller plus loin, je fais le film.'”

Il raconte puis quoi le filmage du projection, dans lequel auquel son être possède un sage en volière, a été perturbé par l’guerre des studios de Melville à Paris. “Je fonce aux studios”, se rappelle-t-il.

“Là, je vois Melville avec son Stetson, sa robe de chambre, sa femme, sa secrétaire, qui regardait brûler sa vie”, dit-il. “À un moment, il me dit : ‘Mon coco, notre oiseau. Notre oiseau.’ Toute sa carrière brûlait, tout était foutu et il pensait à notre piaf qui était en train de griller, et rien d’autre.”

Avec AFP

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