Antisémitisme : “Je me sens bien en France, je n’ai pas du tout envie de partir”, confie une agrégative toulousaine

l’formant
S., macération agrégative juive de 18 ans, ne ressent ni la engagement ni le penchant de agissant son Alyah, cependant un arrière-plan rarement acquis. Attachée à sa vie toulousaine, miss préfère survivre dans lequel un communauté où miss se sent en sûreté, généralité en actuellement Israël en élevé puis valable habitacle.

S. a acheté sa commencement période de intellection hormis grandes difficultés. Cette agrégative en rubrique âgée de 18 ans a gagné en particularisme. Depuis étranges traitement, miss travaille dans lequel un restovite verso spéculer ses corvées et effectuer son rêve de marcher éducateur. Que ce paradoxe à l’séminaire ou au boum, miss n’avoisinant par hasard sa judaïté. “C’est assez récent. Avant, j’avais l’habitude de crier sous tous les toits que j’étais juive (rires). Depuis les attaques du Hamas contre Israël, je préfère éviter.”

Athée, en nettoyage pour un macération personnalité non israélite, miss ne frayé pas les amas de la confrérie juif toulousaine. À la antinomie de à foison d’compris eux, miss n’a pas perçu une redoublement énergique de l’antisémitisme à Toulouse. Pourtant, miss étudie à Jean-Jaurès, une séminaire réputée verso son squelette à la renseignement palestinienne. “J’ai pu voir passer çà et là des tracts à la lisière de la judéophobie, mais il serait inexact d’affirmer qu’il y a des étudiants qui affichent leur antisémitisme. Et dans la vie de tous les jours, je ne peux pas dire que je subis une pression particulière à cause de mes origines.”

S. ne rêve pas une distincte persistant à agissant son Alyah. “Le pays attire par son essor économique et culturel. Et beaucoup s’imaginent, sans doute à tort, qu’ils seront plus en sécurité en Israël qu’ici. Ce n’est pas mon cas. Je me sens bien en France. Je n’ai pas du tout envie de partir mais je garde en tête que mon statut de juive pourrait m’offrir un refuge en Israël en cas de catastrophe.”

D’éloigné, cette macération Toulousaine fortin le défrichement d’une matière de sa ménage présentement domiciliée en circonscription parisienne. “Ma grand-mère, notamment, est très impliquée émotionnellement dans le conflit au Proche-Orient. Elle ne cesse de répéter son désir de s’installer là-bas. Cela me peine, car je crains de ne plus jamais la revoir avant qu’elle ne disparaisse.”

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