Après l’cooptation de Régine Bourgade magistrat de Mende, jeune adjoints viennent aboutir le ordo communal

Après l’cooptation de Régine Bourgade magistrat de Mende alors du exposé communal du jeudi 22 août 2024, jeune adjoints ont été élus dans lequel la enjambée.

Après l’écrasante prise de Régine Bourgade à l’cooptation au retranchement de magistrat de Mende, jeudi 22 août 2024, alors du exposé communal (en troc de Laurent Suau, élu gouvernant du exposé départemental alpha août), une contraire cooptation s’est déroulée dans lequel la enjambée, celle-là des adjoints au magistrat.

Neuf adjoints ont été élus

Neuf postulants de la indépendance municipale ont été élus sur la justificatif proposée par Régine Bourgade. Les jeune adjoints sont : 1er additif, François Robin ; 2e additif Françoise Amarger-Brajon ; 3e additif Jean-François Berenguel ; 4e additif, Élisabeth Minet-Treneule ; 5e additif, Vincent Martin ; 6e additif, Aurélie Maillols ; 7e additif, Laurent Suau ; 8e additif Marie Paoli ; 9e additif, Alain Combes.

Les réactions en conséquence l’cooptation de Régine Bourgade

Régine Bourgade, fiction magistrat de Mende : “C’est quelque chose d’important aujourd’hui. Je n’étais pas préparée à prendre cette relève, puisqu’à plusieurs reprises on m’avait proposé de prendre la tête de liste, mais j’ai chaque fois décliné. Je trouvais que ce n’était pas ma place. Et là, finalement, je me suis dit, “audition, c’est ton terminal législature, tu devrais le parfaire, diriger jusqu’au section”, et ça permettra comme ça d’être le relais pour la future liste de 2026. Il nous reste des projets à réaliser. Ce sont des choses que l’on a évoquées avec les Mendois, donc on va essayer de les mener jusqu’au bout pendant ces deux ans. […] Ça remue de se dire que depuis 1789 il n’y a eu que des hommes à la tête de la ville. Ce n’est quand même pas tout à fait normal non plus, plusieurs grandes villes de Lozère sont dirigées par des femmes telles que Saint-Chély-d’Apcher, Florac, Marvejols, alors pourquoi pas Mende.”

Emmanuelle Soulier, adjoint candidate à s’existence présenté, guibole de l’antinomie : “Je m’attendais exactement à ce résultat-là. Je l’ai bien senti, entre tous. Il fallait forcément qu’ils votent comme un seul homme. Le fait de ne pas avoir pu m’exprimer avant sur les raisons pour lesquelles j’ai pris la décision de me présenter à l’élection, j’ai trouvé ça fort dommage. […] Nous avons bien vu que monsieur Suau était derrière elle. Régine Bourgade ne sera pas réellement le maire. Je suis convaincue, et je sais que madame Bourgade ne souhaitait pas devenir maire de Mende. Pour moi, ce sera Laurent Suau qui sera derrière toutes les décisions de la nouvelle maire.”

Laurent Suau, passé magistrat de Mende du législature en balade et frais gouvernant du exposé Départemental : “Régine Bourgade est dans la continuité. J’ai la fierté de lui avoir passé l’écharpe et de plus, première femme maire de Mende. C’est un beau symbole. Nous allons travailler en osmose jusqu’en 2028, à l’occasion du renouvellement du conseil départemental (Régine Bourgade est élue du canton de Mende nord, NDLR). Il y a de bonnes volontés dans cette équipe et il y a des besoins pour le territoire. J’espère que nous pourrons travailler avec Sophie Pantel, députée, pour qu’elle aille nous ouvrir des portes à Paris.”

Après la tergiversation des écharpes, une affermi a été faite à cause diverses déclarations des conseillers : “Les résultats ne me surprennent pas. Je suis consterné par ce jeu de chaises musicales depuis les Européennes. Nous avons besoin d’élus locaux se présentant au service de l’intérêt général avec un engagement, clair, humble et définitif”, a spécialement loyal Emmanuelle Soulier, hâlée au retranchement de Premier commis. Une évocation déclarée à motivation, spécialement, de Laurent Suau, le magistrat sortant. L’intéressé rétorquant : “Les Mendois ont voté pour une équipe ! Je resterai élu de la ville et passer au Département, c’est aussi rester au service des Mendois.”

Un tribut quasiment habituel

Aurélie Maillols, de la indépendance municipale, a en conséquence entrepris la devise : “Vous saurez poursuivre et mettre en œuvre le programme pour lequel les Mendois nous ont fait confiance en 2020. Nous devons terminer les projets engagés en matière de santé, de dynamisme associatif, de communautés apaisées, d’éducation, de création d’emplois et d’activités économiques. Pour autant, j’exercerai cette fin de mandat en toute indépendance et selon mon engagement régional sur une liste social-démocrate et citoyenne.”

Côté antinomie, Karim Abed s’est formulé : “Je rends hommage à votre élection, une consécration au service de la ville depuis 40 ans. Je salue votre écoute depuis quatre ans, contrairement à d’autres” ci-devant de s’attirer dans lequel un opuscule sur “la trahison et le mensonge en politique”. Les débats se sont terminés par une brusque preuve de Jérémy Bringer et Michelle Jacques : “J’ai voté pour une femme qui a consacré sa vie à sa ville. Je reste dans l’opposition mais la place de maire vous revient de droit et vous la méritez.”

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