Sixième et déçu de sa dénouement du 800 m aux Jeux Olympiques de Paris 2024, le Lot-et-Garonnais s’est relancé au multitude Lausanne, là-dedans le encadrement de la Ligue de bijou. Il se organisation inconnu d’une tournée ultrasonore.
Verser la spoliation et aller. Arrivé en même temps que la inscription de rival formé à la réputé sur 800 m à Paris, le crack d’Europe en écusson n’avait pu agir plus qu’une sixième position au Stade de France. Un aboutissant âpre revers le Français qui réalise une période occasionnelle.
Un commun peu moins de double semaines ensuite cette dénouement, le aborigène de Villeneuve-sur-Lot rechaussait les pointes à Lausanne (Suisse), règne de la mémorable Ligue de bijou. Le Français retrouvait le crack olympique Emmanuel Wanyonyi, et son héritier de Paris, le Canadien Marco Arop.
Le Kényan de 20 ans s’est imposé en 1’41” 11, devenant le deuxième performeur de tous les temps (à égalité avec Wilson Kipketer), tout en se rapprochant à 20 centièmes du record du monde de son compatriote David Rudisha. Arop est une nouvelle fois deuxième, et Tual complète le podium en 1’42” 30.
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C’est le quatrième supérieur chrono de la période, et de la gradins du Lot-et-Garonnais, qui écho déclaration d’une prolixe continuité. “On savait que ça partait pour le record du monde, a-t-il déclaré après la course. À partir de ce moment-là, on sait que ça va être rapide, qu’il va y avoir la casse. Je ne me suis pas trop affolé, je ne suis pas parti comme un fou furieux. Je pense que tactiquement parlant, j’ai bien couru. Le chrono est encore bon.”
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Fatigué ensuite cette grande période consignée par les Jeux, Gabriel Tual pourrait s’offrir dès ce dimanche au multitude de Chorzow, en Pologne. “Depuis l’année dernière, je confirme un sacré taf, j’en suis fier, a-t-il ajouté. La saison commence à être longue. Je fais avec ce qu’il me reste : pas beaucoup, mais je pense que ce n’est pas mal.”
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