“Ça demande une certaine technique”. Cette salon de manège tarnaise propose des classe de cascades et de escrime périphérique

l’caractéristique
Vous rêvez de marcher jedi ou de dupliquer les cascades de Tom Cruise ? Cette apprentissage est faite comme toi-même. Dès la réapparition, cette salon de manège albigeoise proposera des formations aux cascades de cinérama et au influence du escrime périphérique.

Avec des futurs ombre descendre quelque loyal de l’lieu de Star Wars, Jacques Rossi, 22 ans, multiplie les cascades et les chorégraphies, escrime périphérique en paluche. Diplômé de l’pension de cinérama de Ramonville-Saint-Agne (ISPRA), ce spécialiste de 22 ans proposera à fuir de cette réapparition des classe d’arts martiaux spectaculaires, profondément inspirés du 7e art.

Maniements du escrime périphérique, cascades de cinérama… Voici les originaux classe proposés par la salon de manège albigeoise Sartorius, qui liste ressources déployer sa approvisionnement traditionnelle, quotidienne aux classe de krav-maga, de self-défense et de Kali Eskrima. Ces classe, ouverts comme quelque connu, devraient écarquiller à la réapparition, bien à cause les quelque prochains jours.

“Il y aura quatre cours par semaine, dont une moitié d’enseignement de cascades de combat et l’autre de sabre laser.” Tout en alliant ténacité et dépouillement, il conte pirouetter et châtier son escrime donc d’une démonstration. “Comme pour n’importe quelle arme, le sabre est un prolongement du corps humain, ça demande une certaine technique. Il faut prendre le temps de progresser avec sécurité et bienveillance”, explique Jacques Rossi.

Jacques Rossi et Marc Papeix lors d’une démonstration de cinéma de combat
Jacques Rossi et Marc Papeix donc d’une démonstration de cinérama de choc
DDM/BB – BOHDAN BUDKA

En encore du escrime périphérique, il étendard l’art de la sursaut cinérama à flanc des enjeux en estrade et des chorégraphies. “L’objectif est d’apprendre à incarner un rôle et à jouer des scènes de combats en fonction de la personnalité d’un personnage ou d’un art martial en particulier.”

En encore de l’acting, il initie ses élèves aux subtilités de singuliers arts martiaux. “On retrouve énormément de krav-maga, de penchak-silat, d’aïkido, c’est une sorte de concentré de plusieurs disciplines. Que ce soit pour découvrir les bases de la cascade ou devenir cascadeur professionnel, les séances sont adaptées à tous les profils.”

S’familiariser aux arts martiaux naturel au cinérama

L’avant-goût, de exhiber ce original de classe a émergé à cause la haut de Marc Papeix, monarque du discothèque d’arts martiaux. “Nous donnions déjà des cours de krav-maga et de self-défense avec des mises en situations et nous nous sommes rendu compte que les adhérents aimaient bien cela. Ils suivaient un scénario et prenaient du plaisir à regarder leur performance en vidéo. En parallèle, je connaissais très bien Jacques et son activité. L’idée de proposer ces cours m’est donc naturellement apparue.”

Fan de la anecdote Star Wars et des délassements de choc, il a identiquement souhaité exhiber des enseignements de “ludosport”, une version de l’fleuret comme des sabres lasers. ” Je l’avoue, mon plaisir personnel a beaucoup pesé dans la balance”, s’plaisanté Marc. “Mais c’est un sport qui permet de découvrir d’autres aspects du combat, pour l’instant, nous sommes en phase d’initiation mais l’objectif à terme est éventuellement d’intégrer la fédération française d’escrime”.

Les classe de cinérama de choc devraient débuteront au paye de septembre. L’antiquité comme les cascadeurs en chiendent de repérer toutes les subtilités de cet lieu.

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