Canicule en Haute-Garonne : lorsque les champions de indienne Léon Marchand et Ugo Didier s’entraînent au-dessous le cagnard

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Les Haut-Garonnais Léon Marchand, sportif du monde de indienne, et Ugo Didier, vice-champion du monde paranatation évoquent à eux entraînements endéans la délayé de empressement prévue cette semaine. 

Quand le hydrargyre se met à harceler les 35 lignes, humecter de longues heures parmi un marais d’eau turquoise et chlorée devient un croquis tentant. C’est le habituel de un couple de champions de indienne qui ont à eux coutumes à la baignoire Castex, à Toulouse. Le quadruple médaillé d’richesse paralympique Ugo Didier et le obscure sportif du monde Léon Marchand nagent respectivement un couple de et cinq heures par ajour. Pourtant, si à elles recto de procréation peut paraître idéal donc des collectifs tropicaux, parqué aux extravagance de sûreté.

Enseigner à Phoenix en Arizona, aux Etats-Unis, a adroit Léon Marchand à conquérir les longueurs au-dessous de hautes températures. Depuis un an qu’il y vit, il n’a domestique qu’un autonome ajour de flot. “Le soleil, ça draine beaucoup d’énergie, explique-t-il. Comme je nage souvent en extérieur, j’ai pris l’habitude de m’hydrater beaucoup et de faire des pauses régulièrement pour récupérer.” Le sportif des Mondiaux de Budapest s’moqué encore des tartines de purée solaire qu’il prend réflexion de s’infliger : “J’ai déjà pris des coups de soleil si énormes que je ne pouvais plus nager. Depuis je fais très attention à rester à l’ombre, même le week-end”.

“Aujourd’hui la piscine est à 30 degrés, alors ça monte vite !”

Fort de son démonstration climatique nord-américaine, Léon Marchand idolâtré entourer l’heurt de l’divagation caniculaire projeté cette semaine amnistie à une meilleure tendance de son contexte. “Aujourd’hui la piscine est à 30 degrés, donc quand je fais une grosse série, ça monte vite ! Pour tenir le rythme je fais plus de récupérations” commente-t-il.

Pour Ugo Didier, ce ne sont pas autant les entraînements parmi l’eau qui pâtissent de la touffeur que ses séances de bodybuilding. “Il y a trois semaines, une de ces séances a été annulée car la température et le taux d’humidité étaient trop importants dans la salle de musculation” se souvient icelui qui natation et concourt depuis ses huit ans. À la baignoire de Tournefeuille, où il s’entraîne le davantage, les bassins sont couverts ce qui permet de entourer les risques.

Pour les un couple de Haut-Garonnais de 20 ans, la prochaine haleine internationale est les championnats du monde qui se tiendront en juillet 2023, à Fukuoka à cause la conflit reconnu, et à Manchester à cause l’théâtre handisport, préalablement de se projeter à l’eau des Jeux olympiques et paralympiques de 2024.

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