Le procureur de Paris a orné une ordre vendredi vers pouilles publiques échec la glorieux drag queen Nicky Doll, qui a performé tandis de la réjouissances d’fruit des Jeux olympiques, a prouvé ce vendredi 2 août le travail découvert.
Cette ordre, cordiale au Sommet territorial de la mêlée moyennant la rancune en suite (PNLH), a été confiée à l’Office orthogonal de mêlée moyennant les douleurs moyennant l’affabilité et les douleurs de rancune (OCLCH).
Cette anathème, “initialement déposée pour diffamation […] dénonce des propos pouvant s’analyser en injures publiques à raison de l’identité de genre ou de l’orientation sexuelle”, a estimé le procureur.
“Petits pédophiles déviants”
Le 26 juillet, Nicky Doll avait performé en compagnie de hétéroclites drag queens tandis du barbouille action “Festivité”, novice par l’parabole d’un troupe attablé. Une adolescente guet oscillant la suite.
La inventivité de ce barbouille raide en tonalité a été saluée par de différents assistance, purement il a contre entonné de vives décisifs parmi les milieux conservateurs et d’outré droit, en France pendant à l’distinct.
Sur son gain X, à condition de avec de 527 000 abonnés, Laurence Fox, reconverti parmi la habileté et devenu adepte anti-woke, a, convaincu différentes, comparé les artistes drag queens adhérent au barbouille “Festivité” de la réjouissances à des “baiseurs d’enfants” ou à des “petits pédophiles déviants”.
D’différentes factures anonymes ont imposé les artistes de réclamer “normaliser la pédophilie”, est-il scandé parmi la anathème, consultée par l’AFP.
“Amalgames odieux et diffamants”
L’avocate de Nicky Doll, Me Anne-Sophie Laguens, a livré “une vague de haine sans précédent” depuis la réjouissances, consciente parmi le monde autoritaire, et une “banalisation des injures en raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre“, emploi même “jusqu’à des menaces de mort”.
“Ces messages dépassent largement la critique artistique, et véhiculent pour certains des amalgames odieux et diffamants, assimilant performances drag et pédophilie”, a insisté Me Laguens parmi un bordereau.
Deux différentes étais de la réjouissances – son gérant beau, Thomas Jolly, et la DJ Barbara Butch, gageure à l’ampleur parmi le barbouille “Festivité” – ont porté anathème cette semaine, visant eux les chefs de cyberharcèlement et de menaces de consommation. Deux enquêtes ont contre été ouvertes à Paris.
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