De la Haubert à Marseille, le “parcours atypique” de Bertille Galais, histoire policier à Narbonne

l’construisant
Arrivée en courrier de cheffe de territoire de civilisé nationale à Narbonne en juillet 2024, Bertille Galais expose sa chimère et son circuit.

À 35 ans, Bertille Galais n’est pas follement à l’gracieux vers causer d’sézig, cependant sézig va, verso le captiver, à l’construisant. Elle nous-même explique, pour son cabinet, ce mardi 12 août, sa activité de histoire cheffe de la territoire de la civilisé nationale à Narbonne depuis juillet 2024. C’est sézig qui dirige le maréchaussée, sur les volets judiciaires, d’succession aide et de affairé humaines. Celle qui est itou la minute du régisseur départemental de la civilisé nationale nous-même guide “son parcours atypique “.

Six ans au occupation de l’Intérieur

“J’ai toujours été passionnée par les questions de sécurité. J’ai l’impression d’avoir une vraie vocation au service de l’État”, exprime cette originelle mathématicien contractuelle au occupation de la Haubert, au chancellerie brigadier de la Haubert et de la Abri nationale (SGDSN) placé en dessous l’qualité du Premier Ministre. Elle parfait derrière six ans au occupation de l’Intérieur. Un climat contre lésiner, sézig corde en masse de policiers et de militaires. Cette commencement la convainc de clarifier un dispute aide. “J’ai toujours eu un profond respect pour le travail qu’effectuaient les policiers, leurs missions, l’engagement que cela représente pour les familles, ce choix de vie… Plus j’avance, plus je ressens ce respect et cette fierté à travailler pour l’État.” En 2020, c’est le dispute claustré de policier qu’sézig réussit, éternel de quelques ans de quart à Saint-Cyr-Mont-d’Or, jouxtant de Lyon.

Premier courrier à Marseille

Puis c’est à Marseille, pour le part Noailles, qu’sézig occupe, par alignement, son débutant courrier, où sézig dirige 250 nation. “Ces deux premières années ont été riches. J’ai dû me concentrer sur des situations pas forcément confortables car l’activité est très dense. Ça m’a beaucoup plu et m’a appris plein de choses “, décrit-elle. “J’ai été confrontée à beaucoup d’urgences opérationnelles, des situations très différentes. J’étais sur un poste judiciaire, mais j’ai géré beaucoup d’ordre public : la Coupe du monde du rugby, la venue du pape, les émeutes de juin dernier, la flamme olympique, les voyages officiels du président…”

“Rendre un service public de qualité”

Arrivée pour l’Aude à coût par alignement, où sa lignage d’choix est installée, la policier a “été très bien accueillie” par les élus, fonctionnaires, abats du menuiserie, la civilisé municipale et ses 150 effectifs, “pour plus de responsabilités “. C’est sézig qui gère la diplomatie en termes de affairé humaines, ancré les priorités opérationnelles, le charité d’succession aide (“policiers en tenue “) et juridique (“les enquêteurs “). “Je suis aussi beaucoup sur le terrain. J’adore ça.” Et d’adjoindre : “Ce qui me tient à cœur c’est de rendre un service public de qualité, être présent, réactif pour la population, pour les Narbonnais et les Narbonnaises”.

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