L’offensive éblouissement émise par Kiev il y a couple semaines là-dedans la pays de Koursk en Russie a accord aux forces armées ukrainiennes de affaisser prisonniers des centaines de combattants ennemis. Kiev espère désormais les vendre grâce à des prisonniers de campagne ukrainiens détenus en Russie. Des journalistes – chez lesquelles Gulliver Cragg, identique de France 24 à Kiev – ont été autorisés à sonder ces prisonniers russes.
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Dans la pays de Soumy, là-dedans le Nord-Est, l’Ukraine veut comparaître au monde pardon sézig entente les prisonniers de campagne russes occasionnellement capturés là-dedans la pays russe de Koursk, où sézig mène une provocante depuis la semaine dernière.
Kiev a permis des journalistes mondiaux à procéder les sonder. Notre identique Gulliver Cragg a en conséquence pu arriver là-dedans les geôles ukrainiennes et s’revêtir alors de fortement jeunes bonshommes vivant à elles secours combattant essentiel.
L’identité de ces soldats ne sera pas révélée. Si iceux ont pu bavarder aux journalistes, c’réalisait en assistance du jaloux carcéral – seulement en décrochement et ne pouvant sympathiser ce qui réalisait dit.
Dans l’troupe russe, “ils ont essayé de nous laver le cerveau”
“Ils [les soldats ukrainiens] nous ont encerclés et nous ont dit de déposer nos armes, et c’est tout”, confie l’un d’eux, âgé de 22 ans, qui raconte sa arrestation. “Nous les avons déposées”, poursuit-il. “En Russie, soit tu rejoins l’armée, soit tu vas en prison. Il n’y a pas vraiment le choix. Évidemment, une fois dans l’armée, ils ont aussi essayé de nous laver le cerveau.”
Un singulier, âgé de 20 ans, ajoute : “La propagande russe nous a dit que l’Ukraine était un pays de néonazis, et simplement que les gens ici n’étaient pas des gens.”
Dans la centrale, gardiens et soldats ukrainiens racontent que ces jeunes prisonniers de campagne voyaient terrifiés en lauréat, plus se sont calmés en recevant de la vivre et des livres, et en pouvant toucher la poste.
Un persistance miséricordieux, cependant pas d’sympathie moyennant également, assure un agressif chargé du amenée des prisonniers jusqu’à la centrale. “Nous appliquons les conventions de Genève. Nous ne développons pas de relations personnelles avec eux”, affirme-t-il. “Ce sont nos ennemis. Ils ont tous une part de responsabilité parce qu’ils ne se sont pas soulevés pour protester contre leur gouvernement.”
À apercevoir de ce faitLes prisonniers de campagne russes en mendie d’un interview moyennant à elles reçu
“Monnaie d’échange”
Volodymyr, meneur courrier de la centrale, abonde : “Les prisonniers de guerre qui nous arrivent sont avant tout une monnaie d’échange contre nos propres soldats actuellement aux mains des Russes.”
Depuis l’intrusion à prolixe comparaison de l’Ukraine par la Russie en 2022, comme de 3 400 prisonniers ukrainiens ont été libérés donc d’échanges. Mais au moins 6 000 sont constamment détenus en Russie.
“Depuis que mon mari a disparu en novembre, chaque fois qu’il y a un échange, je scrute la liste et les images des prisonniers qui ont été libérés, je le cherche”, raconte Tetiana, la demoiselle d’un agressif ukrainien interné en Russie. “Ils nous informent seulement de ces échanges une fois qu’ils ont eu lieu, donc personne ne sait quand se produira le prochain, ou qui en fera partie. On ne fait qu’attendre.”
Avec des “centaines” de soldats russes capturés – escortant le administrateur Volodymyr Zelensky – en deux jours, l’campagne là-dedans la pays de Koursk redonne aux Ukrainiens l’pause d’un nouveau interview de prisonniers.
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