Après l’panneau du empêché Renault de l’interruption de la apparition des moteurs Alpine comme la Formule 1, les salariés de l’société de Viry-Châtillon montent au embrasure et ne veulent pas en surnager là escortant un ordre publié ce vendredi 23 août.
Les 350 ouvriers de l’société Renault de Viry-Châtillon (Essonne) n’ont pas dit à elles extrême mot. Dans un ordre, les salariés rejettent l’renonciation de la apparition des moteurs Alpine F1 qui faisaient à elles obligation par le empêché Renault. Celle-ci à elles avait été annoncée fin juillet 2024.
Ils demandent au directeur Luca de Meo, désormais conseillé par Flavio Briatore, de raccommoder cette emplacement jusqu’au 30 septembre précocement que la résolution définitive bien assujettissement. “Les hommes et les femmes de Viry-Châtillon ne peuvent cautionner l’arrêt définitif par Renault de son programme de développement de moteurs F1” annoncent les ouvriers, cités par Motorsport.
“La fuite de compétences hautement qualifiées serait un gâchis inestimable”
Avec alors de 50 ans d’réel et douze titres cosmopolites, le habileté des moteurs fabriqués par l’société de Viry-Châtillon est en aléa d’ultérieurement les salariés : “Bien au-delà des intérêts personnels de quelques passionnés, la menace pèse sur ce véritable fleuron technologique qui fait rayonner la France dans le monde entier. La fuite de compétences hautement qualifiées serait un gâchis inestimable”.
Alors que la correctif de la Formule 1 est prévue ce dimanche 25 août, les ouvriers pointent “l’abandon honteux de l’héritage de l’équipe”. “Voir aujourd’hui Alpine F1 se tourner vers un moteur étranger est un reniement de cette vision”, continuent-ils.
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