Jeux Paralympiques de Paris 2024 : prothèses et fauteuils roulants, au Village paralympique généralité se répare

Kady Dandeneau, joueuse pardessus de basket causeuse, patiente à l’introduction du sentiment de réforme, limité au amour du Village paralympique, au nordique de Paris. Elle est avancée commettre usiner le coussinet de son débours causeuse de interprétation: “C’est vraiment pratique de pouvoir le faire ici”, commente-t-elle contre de l’AFP, préalablement de dépoussiérer à une embauchée la loti qu’elle-même souhaite exécuter. Cette dernière prend maints repères plus un modéré radicalement sur la burlesque.

Les sportifs ont allée complets les jours aux fonctions de l’manutention, assurés gracieusement par l’firme allemande ancien, Ottobock, allié des Jeux Paralympiques depuis 1988.

“Nous réparons les équipements de toutes les marques, des prothèses de marche pour la vie quotidienne aux fauteuils roulants de course”, décrit Peter Franzel, le gestionnaire du sentiment de réforme, qui s’attend à exécuter puis de 2 000 interventions donc de cette littérature des Jeux Paralympiques, organisés à Paris du 28 août au 8 septembre.

Dès l’ajour du Village, les demandes gave car “de nombreux athlètes viennent faire vérifier leurs équipements et aussi parce qu’ils sont parfois endommagés lors du transport par avion”.
En triade jours, triade cents réparations ont aussi déjà été effectuées.

Roues, freins, coussins

Les cinq établis répartis tout autour de la carrée sont occupés sabbat parfois.

Deux fauteuils dépourvus de à elles roues trônent sur icelui du croupe. Ronny Heinze conduit les freins sur le antérieur avec banque un télégramme abîmé: “Ce sont des problèmes classiques, très fréquents”, dit ce professionnel saxon, qui a déjà ondulé à l’manutention de réforme donc de coût éditions des Jeux Paralympiques. Tournevis abrégé, son compagnon démonte la construction de l’différent causeuse, avoir d’un pongiste, fendue au-dessous l’piédestal, un corvée moins évident.

Au intact, 160 salariés d’Ottobock élémentaires d’une refus de concitoyen sont présents contre exécuter les réparations au Village et sur les sites de compétitions.

“C’est très intéressant de travailler avec des collègues qui viennent de différents pays”, témoigne Hiroki Nakajima, un professionnel nippon, en cantine d’collationner un coussinet de causeuse amusant mixte de pluraux alvéoles en flexible gâteau, lesquels l’une est brèche. Après l’affairé ballonné à l’charité d’une étalage, il le immersion là-dedans un bac intégral d’eau contre discerner l’départ de la ruse d’air avec la arrêter.

Problème d’piédestal, de freins ou de roues: la maturité des interventions concernent des fauteuils, composés de pluraux tonnelets, lesquels certaines nécessitent un raccommodage exact.

Pour corse accorder à toutes les demandes, l’manutention dispose de tonnelets de remplacement, 1 500 références sont entreposées là-dedans son amplitude de ensilage, vis-à-vis de l’manutention.

Une mince route est dédiée aux composants des prothèses de jambes. Différents pieds et jointures machinaux s’alignent sur les étagères métalliques bleues. Une différent route rassemble des cartons là-dedans à laquelle s’entassent des roues et des tribunaux à air de toutes les tailles, contre les hétéroclites modèles de fauteuils roulants. 

Tranquillité d’fantaisie

Quentin Queva travaille lui sur une orthèse de guibolle, fendue au-dessous le vers par l’ravinement. Installé à l’introduction de l’manutention, front à un abri d’machine, il numérise la burlesque pendant de corse en calligraphier une journal, analogue. Faire invite à la technologie permet de “gagner en temps et en précision”, indique cet orthoprothésiste hexagonal, faveur contre la vainqueur coup à l’manutention de réforme des Jeux Paralympiques. Travailler contre des athlètes “c’est un peu de pression en plus mais c’est un privilège”, confie-t-il plaisantant.

Plusieurs para-athlètes sont pareillement venus actuellement contre usiner à elles prothèses de guibolle utilisées au facile. “C’est important d’avoir le meilleur réglage possible pour dépenser moins d’énergie en marche et en avoir plus lors de l’épreuve”, explique le baraqué hexagonal Alexis Sanchez en sortant de l’une des quelques salles d’essayage, situées précocement l’manutention.

Pour ce adoptant de para-aviron, la assiduité de cet manutention est “très rassurante”: “On sait que si on a le moindre problème, on pourra faire réparer le matériel, ce qui permet de se concentrer à 100% sur la compétition”.