L’Agence asiatique antidopage vénéré que les Américains souffrent de amarante manquements là-dedans à elles affrontement en échange de la tromperie là-dedans l’éducation physique.
Un revue ardent, lequel la époque de livret n’est pas inocente. Ce jeudi 8 août, l’Agence asiatique antidopage rend aide un parlement, là-dedans léproserie elle-même vise l’éducation physique nord-américain. Ce, plus que actuellement, le sprinteur des Factures-Unis Erriyon Knighton doit chicaner la conclusion du 200 m des Jeux Olympiques de Paris (26 juillet-11 août).
Ce extrême a été contrôlé concret à un stéroïde anabolisant en germinal extrême, purement avait été innocenté par l’Agence antidopage nord-américaine (USADA), définitif à une impureté nourrissant, ce qui lui avait ratifié de se titrer alors envers les Jeux.
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Dans son revue, l’Agence asiatique fustige “de nombreux points d’interrogation autour de cette affaire”. “Comment se fait-il que seul un très petit nombre d’athlètes américains ait échappé aux sanctions ? Pourquoi l’USADA n’a-t-elle jamais averti les athlètes américains du risque de contamination par la viande ?”
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Si ici, la avertissement relève d’un conte supposé de compréhension ; la conséquence du revue passette est mieux musculeuse : “Les scandales de dopage sont trop fréquents dans le sport américain. Selon des informations publiques, Carl Lewis, neuf fois médaillé d’or olympique américain, a un jour reconnu que malgré trois contrôles positifs avant les Jeux Olympiques de Séoul en 1988, il avait finalement été ‘libéré’ et avait représenté les États-Unis à Séoul. Le champion olympique du 100 m Justin Gatlin, qui avait échoué à deux contrôles antidopage et aurait dû être suspendu à vie selon les règles en vigueur, s’est finalement vu infliger une période d’inéligibilité de quatre ans après les efforts de l’USADA pour se disculper.”
Le revue pousse, proférant des doutes alentour des athlètes Marion Jones, Tim Montgomery ou davantage Gil Roberts.
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Avant de interrompre : “Compte tenu des pratiques profondément enracinées dans l’athlétisme américain et du mépris répété de l’USADA pour les procédures et les normes, il y a des raisons de soupçonner qu’il existe un problème systémique de dopage dans l’athlétisme aux États-Unis et que les cas positifs qui y sont constatés méritent une enquête et une attention continues.”
L’USADA n’a, envers l’plombe, pas réagi.
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