JO 2024-Finale 800 m : Gabi, et si c’réalisait lui ? Pourquoi le Lot-et-Garonnais Gabriel Tual représente la meilleure circonstance de l’gymnastique hexagonal

Les espoirs de l’gymnastique hexagonal reposent environ purement sur les non-directifs épaules de Gabriel Tual. Le Lot-et-Garonnais ne sera pas le singulier diplomate français en dénouement, vu que les relayeurs et relayeuses ont entiers événement le métier, qualifiant moyennant la baptême jour de l’événement les quatre équipes moyennant la dernière pieu.

Mais ultérieurement l’faillite des sprinteurs ce vendredi 9 août, et devanture l’introduction en cirque des êtres (21h) et des femmes (21h14) sur le 4×400, en conséquence que celle-là d’Agathe Guillemot sur le 1 500 m (20h15), le demi-fondeur incarne, revers Cyréna Samba-Mayela (100 m haies, 19h35), le mieux copieux aspiration de la délégation française, qui se languit invariablement de sa baptême doctorat entre la discipline lanterne des Jeux Olympiques.

C’est que depuis sa baptême dénouement olympique (7e à Tokyo en 2021), Gabriel Tual a événement du allée. Arrivé sur le front de la tribune un peu mieux tard que le Toulousain Benjamin Robert (éloigné en article) qui a le même âge que lui, Tual est désormais un clebs.

“Benjamin avait trouvé ça un peu avant Gabriel, mais aujourd’hui, on voit que Gabi court pour lui. Il a ce truc où psychologiquement, c’est lui qui domine ses adversaires” décrypte Pierre-Ambroise Bosse, singulier Français à disposer acheté à obtenir le charte céleste sur 800 mètres, en 2017. Le total intérêt retraité des pistes a d’absent vu son nouveau, qui a fêté ses 26 en avril, le priver de son succès de France qui tenait depuis 2014.

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Et pas n’importe comme, vu que le 7 juillet ultime à Charléty, Tual l’a événement tomber de 1’42’’53 à 1’41’’61. Une semaine mieux tard, à Monaco, il était une contradictoire exploit qui lui aurait accueilli de dandiner le succès, revers 1’42’’10. Le Lot-et-Garonnais est entre la figure de sa vie, et est venu à Paris revers un rafraîchi décret, qu’il a moyennant l’minute correctement su commettre encenser.

Djamel Sedjati à guetter

Après s’appartenir autorisé sinon frémir moyennant les demi-finales, il a apparu hiératique en fin de tantôt entre un Stade de France diligent chauffé par les relayeurs bleus qui venaient de se intituler moyennant la dénouement du 4×400.Parti entre la collaborateur demie, celle-là du virtuose du monde Marco Arop, Tual ne s’est pas effrayé, chanteur son concentration entre le ultime hyperbolique, invariablement à l’externe, aiguisé la bordure en 1’45’’16 sommet le Canadien (1’45’’05).

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“Je m’inquiète un peu à l’entrée du 200, mais je ne veux pas cramer du jus pour doubler dans le virage, je sais que dans tous les cas, Marco va y aller. Je patiente gentiment et j’attends mon tour. Je fais la dernière ligne droite de manière fluide” débriefe le virtuose d’Europe, qui nette “avoir gardé un peu d’énergie dans la dernière ligne droite, mais pas trop non plus.”

Le revoici désormais en dénouement, là où total peut se clarifier, là où un aspirant peut décourager la comptoir et s’attacher à l’perpétuité moyennant un centième ou une trace un peu surtout arrangée. Parmi les prétendants, on notera l’Algérien Djamel Sedjati, lauréat des meetings de Paris et de Monaco en juillet et qui a semblé surtout modérément arrangeant tandis de la baptême demi-finale.

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Mais le 800 mètres prend continuellement un dégourdi distraction à commettre arrêter les pronostics en éclats, et Gabriel Tual sait qu’en dénouement, “toutes les cartes sont rebattues. Il faudra juste que je joue la mienne au bon moment.”

Il jure ne pas se préparer sur cette circuit, la circuit de sa vie, uniquement voit puisque même une dénouement sinon combustion de allure, tout autour des 1’43 / 1’44 : “Je ne pense pas que le record du monde va tomber ce soir.”

“Le plus dur est passé”

Avec Tokyo entre les jambes et entre la culminant, il sait comme désormais à auxquelles s’attarder, même si poursuivre entre un niveau évidée ou front 70 000 créatures à fondement sommet lui n’est sûrement pas la même tentative. De toutes façons, il désamorce : “Si j’ai une médaille au bout, c’est cool, mais sinon, je n’aurais pas de regrets, j’aurai tout tenté.”

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Souriant, il dit comme que “le plus dur est passé. La demie, comme les séries, c’est ultra-stressant. On est un peu dans l’inconnu, on ne sait pas qui va passer devant, qui va sortir, si ça va aller vite ou pas… On se prépare pour quelque chose qu’on ne connaît pas, en n’ayant rien à gagner et beaucoup à perdre.”

Gabriel Tual a désormais astronomiquement à caresser.